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Accueil > Financement > Crédit > Particeep concentre ses efforts sur l’APIsation des banques

Particeep concentre ses efforts sur l’APIsation des banques

Le secteur bancaire représente désormais la moitié du pipeline de clients de la start-up qui fournit une API de commercialisation en ligne de services et produits financiers. Selon nos informations, une levée de fonds est en préparation.

Par Antoine Duroyon. Publié le 12 mars 2018 à 9h48 - Mis à jour le 16 février 2021 à 14h37
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Particeep a conforté en 2017 son repositionnement en tant que facilitateur technologique de la commercialisation en ligne de services et produits financiers. La start-up a enrichi l’an dernier son API et propose désormais 350 micro-services, incluant ceux en phase de bêta-test. “Nos APIs permettent de commercialiser principalement des produits d’assurance non-vie, des services de financement (capital, prêt, obligation), de placement et bancaires (ouverture de compte avec mise à disposition de moyens de paiement en ligne, par exemple)”, rappelle Steve Fogue, fondateur et président de Particeep. Une plateforme d’appel à projets en marque blanche est également commercialisée sous la marque weapply.io.

A la différence d’un concurrent comme solarisBank, Particeep n’intervient pas au niveau du core banking system. “On ne touche pas au système d’information existant du client mais on crée une infrastructure légère en architecture ouverte qui permet à notre client de rendre disponible ses services financiers dans l’API Particeep, d’agréger des API tierces partenaires afin de lancer rapidement une activité de commercialisation en ligne en direct ou par le biais de distributeurs”, explique Steve Fogue. L’API de services financiers Particeep peut ainsi être complétée par des solutions telles que la signature électronique, avec Universign par exemple, afin de former un package d’APIs. Ces outils tiers font l’objet d’une contractualisation entre le client et le fournisseur.

Une fois les produits et services sélectionnés, deux options sont possibles. Soit une intégration dans l’interface client, privilégiée par les banques et les compagnies d’assurances, soit la fourniture d’une plateforme sur étagère et en marque blanche. Une dernière option favorisée par les sociétés de gestion mais qui fait aussi l’objet de pilotes avec des banques. Si l’environnement de test est gratuit, le modèle tarifaire repose sur l’encaissement de frais de licence, facturés mensuellement ou annuellement. Les services tiers non référencés (gestion comptable…) sont soumis à des frais d’intégration.

Partenariat avec Oracle

Le contexte est porteur pour l’API-sation de services financiers. La recherche d’un déploiement rapide de nouvelles solutions se conjugue avec celle d’une optimisation des coûts, notamment au niveau du KYC. “La valeur de notre pipeline a été multipliée par dix l’an dernier”, commente Steve Fogue. La société a notamment porté ses efforts sur le secteur bancaire qui représente désormais 50% de son pipeline. Le reste se répartit principalement entre sociétés de gestion (26%) et assureurs (22%). Sur la base installée d’environ soixante clients, le nouveau focus sur les banques et asset managers pèse aujourd’hui 22%. Pour 2018, la société vise a minima un chiffre d’affaires de 1,5 million d’euros.

En termes de répartition géographique, les besoins proviennent à 70% du Royaume-Uni, suivi par la Belgique (15%), la France (11%), la Suisse… Comme annoncé fin 2016, Particeep vise aussi des partenariats avec des éditeurs globaux. La société a ainsi noué un partenariat avec Oracle autour de l’API bancaire. Enfin, sur le plan du financement, Particeep prépare, selon nos informations, une nouvelle levée de fonds. Objectif : diversifier la base d’investisseurs, avec l’arrivée d’institutionnels. La start-up a levé 1,35 million d’euros depuis 2013, en partie auprès d’Axa Strategic Ventures.

Antoine Duroyon
  • API
  • assurance dommages
  • crédit en ligne
  • financement
  • transformation digitale

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Steve Fogue (Particeep) : "Nous allons nouer des partenariats avec des éditeurs globaux"

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