Accueil > Assurance > Assurance numérique & collaborative > Alan surperforme ses concurrents en termes de sécurité Web et de perception de son appli mobile Alan surperforme ses concurrents en termes de sécurité Web et de perception de son appli mobile Une étude réalisée par D-Rating liste trois domaines du numérique dans lesquels l’insurtech Alan surperforme par rapport aux acteurs traditionnels du secteur. Mais la société reste par contre à leur niveau en ce qui concerne le référencement et l’engagement Web. Par Aude Fredouelle. Publié le 24 août 2018 à 15h52 - Mis à jour le 24 août 2018 à 15h52 Ressources Selon une étude dévoilée le 24 août par D-Rating, “Alan, le premier et actuellement le seul néo-assureur, se démarque nettement des acteurs traditionnels du secteur de la santé en termes de présence et de satisfaction générée sur les canaux digitaux”. L’agence a comparé 21 marques d’assurance intervenant sur le marché français sur la base de 150 indicateurs mesurant le niveau d’usage et de performance de leurs canaux digitaux. L’insurtech se distingue notamment dans trois domaines, indique D-Rating. En premier lieu, la sécurité et la performance Web : selon des scores fournis par l’agence de notation de la cybersécurité Cyrating, Alan se place “loin devant les autres mutuelles santé” sur le sujet. La start-up se distingue aussi sur la perception par ses clients de son unique application mobile. “Le nombre de téléchargements par client est jusqu’à 100 fois supérieur à ceux de MGEN, La Mutuelle Générale et Harmonie Mutuelle”, souligne l’étude, et “Alan obtient les meilleurs avis et notations (y compris le NPS score) et bénéficie d’une meilleure visibilité dans les stores”. Les mises à jour sont plus fréquentes et de nouvelles fonctionnalités voient le jour à plus faible intervalle de temps. Enfin, Alan superforme en termes de trafic Web généré depuis les réseaux sociaux. D-Rating note tout de même d’autres domaines dans lesquels Alan reste dans la moyenne ou en-deçà des assureurs français : les sources du trafic Web (l’insurtech est peu adepte de SEM, e-mail et ads marketing et est absente des sites de comparateurs) ; l’engagement Web (le trafic montre peu de rétention et d’engagement de la part des visiteurs, avec un taux de rebond supérieur à celui des acteurs traditionnels, et les visiteurs passent moins de temps sur le site et consultent moins de pages) ; l’absence de présence sur Youtube et d’offres connectées dans le domaine de l’IoT. En avril 2018, à l’occasion d’une levée de fonds de 23 millions d’euros, le CEO Charles Samuelian déclarait en effet que la société ne compte pas lancer d’offre dans l’immédiat : “la donnée n’est pas encore assez qualifiée et nous avons bien d’autres projets”, indiquait-il alors. Dans un post de blog daté du 17 juillet, Alan indique assurer au 30 juin 8 802 salariés de 1 048 entreprises et 1 420 indépendants (contre 833 personnes assurées seulement un an auparavant), pour un revenu annualisé d’environ 7 millions d’euros. Alan a collecté 2 748 euros de primes en 2016, 600 000 euros en 2017 et 1,9 million d’euros au premier semestre 2018. Aude Fredouelle application mobileinsurtechtransformation digitale Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind