Accueil > Assurance > Assurance numérique & collaborative > Qover structure son développement en France Qover structure son développement en France La plateforme d'insurance-as-a-service a nommé un responsable pays et ouvrira dans les prochaines semaines un bureau à Paris. Par Antoine Duroyon. Publié le 29 janvier 2019 à 11h37 - Mis à jour le 29 janvier 2019 à 11h37 Ressources Agent souscripteur (coverholder) du Lloyd’s, Qover a fait part le 29 janvier de ses ambitions de développement dans l’Hexagone avec la nomination d’un directeur pays. Nicolas Vincent (ex-Paypal et Google), jusqu’alors directeur commercial, est nommé directeur France, aux côtés du cofondateur Jean-Charles Velge. La start-up belge, régulée par l’Autorité des services et marchés financiers (FSMA), prévoit d’ouvrir un bureau à Paris “dans les prochaines semaines” et de recruter une équipe de dix collaborateurs d’ici à la fin de l’année 2019. Qover développe une plateforme de type “insurance-as-a-service”, via des APIs ouvertes, à destination des acteurs du numérique (plateforme de freelances, jobbing…). 10 000 utilisateurs en France Elle cible de ce fait des travailleurs non salariés avec des produits d’assurance voyage, de couverture des coursiers (accident et responsabilité civile), de garantie des loyers impayés, etc. En France, La Parisienne Assurances a adopté une approche similaire en y ajoutant une couche de blockchain privée. Qover indique compter déjà 10 000 utilisateurs finaux protégés en France, soit la moitié de sa base totale en Europe. Le service est disponible dans huit pays : Pays-Bas, Irlande, Portugal, Espagne, Italie, France, Belgique et Royaume-Uni. Hormis la Belgique et prochainement la France, la société compte aussi un bureau outre-Manche. Parmi ses références clients figurent Deliveroo, Axel Springer, Creditea ou D’Ieteren. Depuis sa création, Qover a été financée à hauteur de 7 millions d’euros, notamment via un tour de table en Série A auprès d’Anthemis Group. Selon les dernières données disponibles, l’entreprise a essuyé une perte de 1,16 million d’euros en 2017. , Antoine Duroyon APIinsurtech Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind