• Contenus gratuits
  • Notre offre
Menu
  • Ressources
    • Toutes les ressources
  • Infos
    • Toutes les infos
  • Essentiels
    • Tous les essentiels
  • Analyses
    • Toutes les analyses
  • Data
    • Data
  • Newsletters
  • Profil
    • Je teste 15 jours
    • Je me connecte
  • Profil
    • Mon profil
    • Je me déconnecte
CLOSE

Accueil > Investissement > Cryptoactifs > Les réflexions sur le dépôt de brevets relatifs à la blockchain sont encore rares

Les réflexions sur le dépôt de brevets relatifs à la blockchain sont encore rares

Une étude du cabinet de conseil en propriété intellectuelle IP Trust recense les brevets déposés sur la blockchain dans le monde et éclaire ainsi la stratégie des acteurs travaillant sur le sujet.

Par Aude Fredouelle. Publié le 16 février 2017 à 12h29 - Mis à jour le 16 février 2017 à 12h29
  • Ressources

La plupart des brevets datent d’avant l’été 2015, car ils sont souvent publiés 18 mois après la date de dépôt. L’étude recense environ 500 familles de brevets déposées, toutes postérieures à 2011 dont environ 250 d’origine américaine et 90 d’origine chinoise. Peu de ces brevets ont été étendus en dehors des Etats-Unis et de la Chine. “Cela montre que les acteurs sont avant tout dans une démarche de tâtonnement”, note Pierre Breesé, président d’IP Trust.

L’intensité de dépôt de brevets reste faible. Il faut dire que les acteurs américains et les banques en particulier ont énormément diminué la fréquence de dépôts de brevets après une restriction, dans les années 2000, de l’administration sur ce qui peut être considéré comme brevetable. Les brevets concernent principalement “les couches basses, l’architecture informatique de la blockchain et les devices qui peuvent en découler”, note Pierre Breesé. Par exemple, CoinBase a déposé un système destiné à échanger des bitcoins, Case Wallet un device sécurisé pour stocker des cypto-devises…

En tête des acteurs ayant déposé le plus de brevets, l’énigmatique start-up EITC Holdings, qui a validé 45 brevets au Royaume-Uni depuis février 2016. Derrière elle se cache Craig Wright, un Australien qui a assuré en 2016 être Satoshi Nakamoto, le créateur sous pseudonyme du bitcoin. Mais la société n’a pas encore dévoilé de projets concrets. “Soit ils suivent une logique de patent troll et déposent un grand nombre de brevets pour ponctionner ensuite les acteurs industriels qui entreront sur le marché, soit ils veulent créer une offre industrielle, analyse Pierre Breesé. Pour l’instant, c’est un mystère.”

Preuve de son ambition en la matière, Bank of America revendique 11 brevets. Mais aucune autre banque ne se démarque… et des acteurs technologique fortement positionnés sur le créneau, comme IBM, n’apparaissent pas non plus dans le haut du classement.  “Mais, tempère pierre Breesé, d’autres ont pu déposer des brevets qui n’ont pas encore été publiés, ou bien des brevets qui n’évoquent pas la notion de blockchain mais concernent tout de même des briques technologiques utilisées dans le cadre du développement d’une offre blockchain.”

 

Source : IP Trust

 

Aude Fredouelle
  • blockchain
  • dataroom

Besoin d’informations complémentaires ?

Contactez Mind Research

le service d’études à la demande de mind

Découvrez nos contenus gratuitement et sans engagement pendant 15 jours J'en profite
  • Le groupe mind
  • Notre histoire
  • Notre équipe
  • Nos clients
  • Nos services
  • mind Media
  • mind Fintech
  • mind Health
  • mind Rh
  • mind Retail
  • mind Research
  • Les clubs
  • mind et vous
  • Présentation
  • Nous contacter
  • Vous abonner
  • A savoir
  • Mentions légales
  • CGU
  • CGV
  • CGV publicité
  • Politique des cookies
Tous droits réservés - Frontline MEDIA 2025