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Accueil > Services bancaires > Paiements > Spendesk boucle une série B de 35 millions d’euros menée par Index Ventures

Spendesk boucle une série B de 35 millions d’euros menée par Index Ventures

La solution de gestion des dépenses professionnelles va ouvrir des bureaux à Londres et à Berlin. Elle compte 1 500 clients, contre 600 début 2018.

Par Aude Fredouelle. Publié le 06 septembre 2019 à 16h49 - Mis à jour le 21 juillet 2021 à 10h26
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Spendesk, plateforme créée au sein du start-up studio eFounders, annonce ce 9 septembre une levée de fonds de 35 millions d’euros en série B auprès du fonds Index Ventures, de ses investisseurs historiques et de deux nouveaux business angels. L’opération porte à 45 millions d’euros le montant levé par Spendesk depuis sa création.

Les fonds seront notamment investis dans le développement de la plateforme. “Jusqu’ici, nous nous sommes beaucoup concentrés sur le développement de nouveaux cas d’usage pour couvrir tous les besoins concernant la gestion des dépenses opérationnelles dans une entreprise, raconte le CEO, Rodolphe Ardant : acheter en ligne, acheter de manière récurrente, acheter sur le terrain, payer des fournisseurs… Désormais, nous allons travailler pour apporter encore plus de valeur aux utilisateurs.” Au programme : l’automatisation de certaines tâches (catégorisation des dépenses, alerting…) ; le développement de nouveaux cas d’usage et enfin l’intégration de la plateforme aux différents outils (RH, de comptabilité…) des entreprises. Spendesk va aussi ajouter les devises européennes qu’elle ne couvre pas encore.

75 collaborateurs à Londres et Berlin d’ici fin 2020

Les fonds seront également tournés vers le déploiement à l’international. Si 50% des 1 500 clients de Spendesk sont déjà basés hors de France (principalement au Royaume-Uni et en Allemagne), l’ouverture de bureaux à Berlin (cet été) et Londres (courant 2020) avec des commerciaux sur place devrait permettre d’accélérer la tendance. 75 personnes devraient être recrutées pour les deux bureaux d’ici fin 2020. “À plus moyen terme il y aura d’autres bureaux à l’étranger”, glisse le CEO. Spendesk compte actuellement 120 salariés dans son bureau parisien (contre 20 il y a un an) et devrait en compter 300 en Europe d’ici fin 2020. 

Il faut dire que Spendesk est très dépendant de sa force commerciale – la société en compte une trentaine aujourd’hui. “Les entreprises n’ont pas l’habitude d’utiliser un outil comme le nôtre puisqu’elles ont plutôt pour coutume de centraliser les dépenses au niveau de l’équipe financière avec divers outils (celui de la banque, outils d’approbation par email, solutions de gestion de notes de frais et de paiement fournisseurs…), résume Rodolphe Ardant. Donc elles ne cherchent pas initialement d’entreprise comme Spendesk et nous les recrutons grâce à nos commerciaux mais aussi au marketing digital.” 50% des clients recrutés le sont par les commerciaux, 30% par le bouche à oreille et 20% par la stratégie marketing et de contenus ou les partenariats.

250 millions d’euros traités par la plateforme

Les clients de Spendesk ont en moyenne entre 50 et 1000 salariés. Parmi eux, Yousign, Malt, BirchBox, La Ruche qui Dit oui ou encore Frichti et Webedia. La start-up, qui passe par la solution en marque blanche du britannique Bankable pour fournir des cartes de paiement, revendique plus de 250 millions d’euros dépensés via la plateforme depuis son lancement en bêta en 2016. Elle revendique donc 1 500 clients, contre 600 en janvier 2018, lors de sa série A. Un prix d’accès à la plateforme leur est facturé en fonction des fonctionnalités choisies (à partir de 90 euros par mois) ainsi qu’un prix par utilisateur actif (8 euros par mois).

Si Spendesk doit affronter Mooncard dans l’Hexagone (principalement tourné vers les cartes de paiement et les achats sur le terrain), la start-up française devra compter sur d’autres concurrents en Europe, dont les britanniques Soldo et Pleo.

Aude Fredouelle
  • carte bancaire
  • levée de fonds

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