Le régulateur du secteur de la banque et de l'assurance poursuit son travail d'analyse des néobanques en France. Dans une version actualisée de son étude, l'ACPR souligne l'absence de rentabilité à court terme et la nécessité d'accroître le degré d'activité de la clientèle.
L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) a publié le 19 juin une actualisation de son étude sur les néobanques en France parue en octobre 2018. Dans cette analyse, l’acception du terme néobanque est large dans la mesure où il s’applique aux acteurs et intermédiaires financiers qui offrent des services bancaires en ligne ou accessibles par des applications 100 % mobiles (y compris les offres en ligne d’acteurs traditionnels comme Eko). Le régulateur se penche notamment sur...
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Article à retrouver dans La lettre mind Fintech n°162
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Jeudi 25 juin 2020