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Accueil > Assurance > Nouveaux risques > Le cloud souverain NumSpot déjà déployé chez une quarantaine de clients

Le cloud souverain NumSpot déjà déployé chez une quarantaine de clients

NumSpot commercialisera début 2025 son offre de cloud souverain basé sur des composants open source, avec une réversibilité “by design”. La société, déjà déployée en bêta chez 40 clients, espère accélérer en 2026, notamment auprès des acteurs financiers grâce à l’obtention de la certification SecNumCloud.

Par Aude Fredouelle. Publié le 21 novembre 2024 à 18h01 - Mis à jour le 22 novembre 2024 à 17h34
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Les premières gammes de services managés du cloud souverain NumSpot, porté par Docaposte (La Poste), la Banque des Territoires, Dassault Systèmes et Bouygues Telecom, seront officiellement commercialisées au premier trimestre 2025, a indiqué le 21 novembre son directeur général Patrick Laurens-Frings (également directeur de la transformation opérationnelle, du digital et des SI du groupe Caisse des Dépôts), soit 18 mois après la création de la société. Elles combineront à la fois des services d’infrastructure (IaaS) et des services de plateforme (PaaS) managés, parmi lesquels Red Hat OpenShift, plateforme d’applications de cloud hybride basée sur le système open source Kubernetes.

Notre essentiel sur le cloud souverain

NumSpot est “basé sur des composants open source qui sont des standards du marché, pour capitaliser sur la communauté et le catalogue de briques existantes et proposer directement des services performants et innovants”, décrit le directeur général. NumSpot est en effet adossé au IaaS d’Outscale, cloud de Dassault Systèmes qualifié SecNumCloud par l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) – ce qui atteste d’un niveau de sécurité élevé. “Nous proposerons aussi dès le premier trimestre des services en matière d’IA, que cela soit en s’appuyant sur les GPU d’Outscale et Mistral AI et également à travers le partenariat avec Red Hat”, détaille Patrick Laurens-Frings. Cette offre de cloud public sera facturée à la consommation ou “sous forme de réserves d’instances (RI), pour obtenir une réduction commerciale”, sans frais d’entrée ou de sortie. 

NumSpot met aussi en avant la sécurisation des données et vise les plus hautes qualifications de sécurité. Un dossier a été déposé auprès de l’ANSSI en septembre pour obtenir la qualification SecNumCloud pour la plateforme NumSpot – le dirigeant espère l’obtenir dans les 12 à 14 mois. La certification HDS (hébergeurs de données de santé), “un must sur le marché de la santé”, est quant à elle visée pour le premier semestre 2025. 

Réversibilité ”by design” en prévision de DORA

Enfin, le cloud promet une “réversibilité [capacité à changer de fournisseur en conservant ses données, applications…, Ndlr] by design”. “C’est un argument avancé par les acteurs du cloud mais avec NumSpot, on le rend réel, avance Patrick Laurens-Frings. En s’appuyant sur des composants open source, nous pouvons démontrer la réversibilité. C’est notamment primordial pour le secteur financier avec l’entrée en application du règlement DORA, qui oblige les entreprises de ce secteur à montrer qu’elles peuvent mettre en place un plan de réversibilité.”

L’offre sera progressivement élargie. “Par exemple, nous lancerons en 2025 la montée de version automatique des composants sur lesquels l’offre est construite”, illustre le directeur général. Au second semestre 2025, l’offre disposera de capacités multi-AZ pour répondre à des besoins de haute disponibilité. Et en 2026, NumSpot veut proposer la fonctionnalité d’autoscaling (mécanisme d’auto-adaptation à la charge) des services autour des données et des conteneurs. À cette échéance, la société veut aussi augmenter les services d’observabilité jusqu’à proposer une offre de tableau de bord à la demande (“dashboard-as-a-Service”), pour “atteindre les meilleurs standards du marché cloud”. 

Accélérer en 2026 avec les certifications

NumSpot est déjà déployé auprès d’une quarantaine de clients, dont ses actionnaires, en version bêta. CNP Assurances avait également indiqué fin 2023 avoir retenu NumSpot pour soutenir sa stratégie cloud et héberger sa plateforme data sur une infrastructure souveraine et sécurisée.

Parmi les principaux segments visés par la société : le secteur public, la santé et le secteur financier. “Nous visons une première vague d’adoption pour adresser des besoins qui ne nécessitent pas les qualifications HDS et SecNumCloud, indique le directeur général. Ensuite les certifications seront un point clé pour accélérer en 2026.” 

Aude Fredouelle
  • cloud
  • cybersécurité
  • régulation

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