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Accueil > Financement > Finance alternative > Microentreprises, macroenjeux pour les banques et les fintech (France Fintech, Roland Berger)

Microentreprises, macroenjeux pour les banques et les fintech (France Fintech, Roland Berger)

Ce rapport dresse un panorama des solutions bancaires à destination des microentreprises, relève les points de satisfaction et de mécontentement et identifie des axes de progrès.

Par . Publié le 13 février 2020 à 14h54 - Mis à jour le 13 février 2020 à 14h54
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Le secteur des microentreprises est particulièrement foisonnant, la France occupant la première position en Europe avec plus de 800 000 créations d’entreprises par an – comprenant un taux de cessation d’activité élevé mais également de nombreuses réussites – qui constituent le terreau économique de la France. 

Or, les entrepreneurs expriment des attentes qui ne sont pas toujours pleinement servies par les acteurs traditionnels : 

– accès souvent difficile au financement et, ce, dans des conditions de coûts et de garanties raisonnables. Ils se revendiquent d’une approche du type “c’est oui ou c’est non, mais c’est tout de suite”, sans paperasse ni caution personnelle. 

– articulation vie privée – vie professionnelle : les banques se sont organisées en filières, ce qui rend parfois compliquée une couverture globale de la relation, pourtant revendiquée par les chefs d’entreprise. 

– aspects générationnels : à ces aspects “techniques” s’ajoutent de nouvelles attentes des jeunes entrepreneurs : parcours client, “mobile first”, phobie des formulaires, approche participative et “tribale”, etc. 

Les jeunes générations émettent parfois des injonctions contradictoires : être conseillé tout en étant acteur de la solution, demande d’innovations audacieuses mais appétit au risque moindre que les baby-boomers, etc. 

En somme des irritants objectifs, mais aussi « culturels », notamment parmi les entrepreneurs plus jeunes, qui attendent en matière de services financiers, ce qu’ils obtiennent dans les autres secteurs de service (commerce électronique, culture, etc.). 

Les modèles d’exploitation sont donc en pleine mutation, avec trois facteurs d’accélération : la technologie (notamment l’intelligence artificielle), la réglementation (DSP2 par exemple) et l’open data. Leur combinaison permet la création de nouveaux services (conseil, assistance à la gestion des factures, etc.) et une nouvelle approche du crédit (scores, algorithmes, exploitation des signaux faibles), sujets essentiels pour les microentreprises. 

Alain Clot, président de France Fintech

 


Pour télécharger l’étude, cliquez sur l’image

 

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