Accueil > Investissement > Structures d'investissement > 13 fintech françaises ont connu un sort funeste au premier semestre 2024 13 fintech françaises ont connu un sort funeste au premier semestre 2024 Par Antoine Duroyon. Publié le 25 juin 2024 à 17h33 - Mis à jour le 25 juin 2024 à 18h06 Ressources Selon le baromètre de l’Observatoire de la fintech pour le premier semestre 2024, 13 fintech françaises ont cessé leurs activités, ont été mises en sauvegarde ou ont été reprises à la barre du tribunal sur la période. Parmi les cas les plus emblématiques : la mise en gestion extinctive de la plateforme de prêts aux PME October, le rachat par Linedata du fournisseur d’applications métiers alimentées par l’IA DreamQuark ou encore la reprise à la casse (avec un prix de vente de 60 000 euros) de la plateforme d’automatisation du recouvrement de créances Aston iTF par Hi Bridge, comme l’a révélé mind Fintech. “Les cessations ont souvent été le résultat de l’échec de développement sur un segment de marché saturé, d’un modèle économique trop peu rentable, de l’abandon face à la riposte des banques ou d’une absence de relai de croissance en complément d’un segment gratuit proposé en produit d’appel“, résument les auteurs de l’étude. À noter : Depuis 2016, 94 cessations d’activités, mises en sauvegarde ou cessions judiciaires ont été recensées, représentant un total de 439 millions d’euros de fonds levés. Ce montant ne représente que 4 % des fonds levés dans la fintech en France à ce jour. Le semestre de la fintech – janvier à juin 2024 – L’Observatoire de la fintech Antoine Duroyon panorama Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire Comment évolue le financement des fintech en France ?