Accueil > Investissement > Structures d'investissement > EY anticipe des sandboxes à un niveau régional EY anticipe des sandboxes à un niveau régional Par Antoine Duroyon. Publié le 22 août 2017 à 18h30 - Mis à jour le 22 août 2017 à 18h30 Ressources Le cabinet de conseil EY a diffusé le 22 août un rapport intitulé “As fintech evolves, can financial services innovation be compliant ?” qui passe notamment en revue les sandboxes mises en place par les autorités de régulation en Asie et au Royaume-Uni. Une sandboxe permet aux innovateurs dans le domaine des services financiers, qu’ils soient start-up ou groupes établis, d’expérimenter de nouveaux produits ou services dans une “zone sûre” où ils bénéficient d’une plus grande flexibilité, voire d’exemptions, par rapport à la réglementation existante. Dans ce document, qui passe en revue les différentes initiatives déjà menées, EY anticipe trois évolutions possibles : l’émergence de multiples sandboxes réglementaires (avec des horizons de temps différents) au sein d’une même juridiction, l’émergence de sandboxes réglementaires à un niveau régional (via des partenariats) ou encore l’émergence de sandboxes industrielles et de certifications industrielles. EY souligne toutefois que la sandboxe n’est qu’une approche de la régulation des fintech parmi d’autres. Des régulateurs ont choisi d’édicter des règles en dehors du processus de la sandbox. C’est le cas, par exemple, en Australie pour le conseil digital ou à Hong Kong pour la gestion de plateformes en ligne de distribution et de conseil. Antoine Duroyon régulationsandbox Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind