Accueil > Investissement > Solutions d'investissement > Freetrade a essuyé une perte d’exploitation de 8,4 millions de livres en 2019-2020 Freetrade a essuyé une perte d’exploitation de 8,4 millions de livres en 2019-2020 Par Caroline Soutarson. Publié le 09 juillet 2021 à 17h42 - Mis à jour le 09 juillet 2021 à 18h00 Ressources L’application de trading britannique Freetrade a publié ses résultats annuels (exercice clos le 30 septembre 2020). La fintech annonce des revenus de 1,66 million de livres, une perte d’exploitation de 8,4 millions de livres et une perte nette de 7,8 millions de livres. La perte opérationnelle, deux fois supérieure à celle enregistrée lors de l’exercice précédent (2018-2018), est principalement imputable aux dépenses en marketing et publicité qui ont été multipliées par dix (de 0,1 à plus d’un million de livres), aux investissements en logiciel et produits informatiques qui ont triplé (de 0,5 à 1,4 million de livres) et au quasi-doublement des effectifs (de 45 à 80 collaborateurs pour des dépenses associées de 1,7 à 3,9 millions de livres). À noter : Freetrade a annoncé une levée de fonds de 69 millions de dollars en mars dernier pour déployer sa solution d’investissement dans plusieurs pays européens (lire notre entretien avec Viktor Nebehaj, CMO de Freetrade). Prévu pour le premier semestre 2021, le lancement en France de l’application n’est pas encore intervenu (2 150 pré-inscrits à l’heure où nous écrivons). Caroline Soutarson application mobiletrading Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire Le néo-courtier Trade Republic signe une levée de fonds record Le néo-courtier BUX lève 80 millions de dollars Le néo-courtier Freetrade lève 69 millions de dollars Entretien Viktor Nebehaj : “En plus de la France, nous comptons lancer Freetrade en Allemagne, aux Pays-Bas et en Irlande cette année” Le néo-courtier Public.com change son business model BUX lance son application de trading sans commission en France Le néo-courtier Trade Republic lève 62 millions d’euros Comment les "néo-courtiers" se mettent en ordre de bataille