Accueil > Investissement > Solutions d'investissement > Nalo proposera l’immobilier et les produits structurés d’ici fin 2024 Nalo proposera l’immobilier et les produits structurés d’ici fin 2024 Désormais entre les mains du groupe de protection sociale lyonnais Apicil, la plateforme d'investissement Nalo compte étoffer rapidement sa gamme de produits. Par Antoine Duroyon. Publié le 27 mai 2024 à 17h52 - Mis à jour le 29 mai 2024 à 11h09 Ressources Rachetée par Apicil en avril 2023, la plateforme d’investissement en ligne Nalo, dont l’approche repose sur le “goal-based investing” (investissement personnalisé basé sur les projets), compte étoffer son périmètre d’intervention. La wealthtech, qui dispose d’un statut de CIF (conseiller en investissements financiers), prévoit de se positionner sur deux nouvelles classes d’actifs d’ici fin 2024 : l’immobilier via des SCPI et SCI, ainsi que des produits structurés. Suivront en 2025 le private equity et les infrastructures (actions). Pour l’heure, la plateforme propose uniquement des ETF (gestion passive) et un fonds en euro, avec deux enveloppes fiscales : l’assurance-vie avec Generali et un PER (plan d’épargne retraite) avec Apicil depuis fin 2022. Elle compte à l’avenir intégrer un compte-titres et un PEA (plan d’épargne en actions). Focus sur le BtoC Dirigée depuis novembre 2023 par Clément Nouvet, Nalo emploie 39 salariés, revendique 20 000 clients et 450 millions d’euros d’encours au premier trimestre 2024. La société indique avoir engrangé une collecte brute supérieure à 100 millions d’euros en 2023. Son concurrent direct Yomoni a dépassé pour sa part le milliard d’euros d’encours. Résolument positionnée sur le segment BtoC, la direction de Nalo indique qu’une évolution du modèle “n’est pas à l’ordre du jour“. “Cela ne serait pas idéal d’un point de vue opérationnel et économique“, souligne Albert d’Anthoüard, directeur général adjoint de Nalo, en précisant que la pratique des rétrocessions perçues par les conseillers en gestion de patrimoine en BtoBtoC serait difficilement conciliable avec une activité reposant sur des ETF. Antoine Duroyon robo-advisor Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire Épargne : Wealthfront dépasse les 50 milliards de dollars d’actifs sous gestion Yomoni vise 2 milliards d'euros d'actifs sous gestion d'ici 2026 Axonaut se prépare à lancer un compte pro Revolut lance sa fonctionnalité de robo-advisor en France Apicil rachète le robo-advisor Nalo