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Accueil > Services bancaires > Banque au quotidien > Le cabinet Oliver Wyman réfléchit à une nouvelle stratégie de développement pour Fidor Bank

Le cabinet Oliver Wyman réfléchit à une nouvelle stratégie de développement pour Fidor Bank

Par Aude Fredouelle. Publié le 27 août 2018 à 16h50 - Mis à jour le 27 août 2018 à 16h50
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Le rachat mi-2016 de la néo-banque allemande Fidor par le groupe BPCE est encore loin du succès escompté par la banque. A la demande du groupe, la firme de conseil en stratégie Oliver Wyman réfléchit actuellement à “une nouvelle stratégie de développement de Fidor en Europe”, a dévoilé Le Monde ce 24 août. 

Le lancement de Fidor en France, initialement annoncé pour 2017, a été longtemps repoussé et seule la communauté a été discrètement déployée en juin dernier -le forum ne compte d’ailleurs encore que très peu de messages. François Pérol, président du directoire, a par ailleurs annoncé en janvier que la néo-banque se lancera finalement sans agrément bancaire, mais avec un agrément DSP2 plus léger.  

Fidor a déjà coûté 230 millions d’euros au groupe, en tenant compte des recapitalisations et en ajoutant les pertes annuelles, indique le Monde. Et selon l’analyse des comptes 2017 effectuée par le cabinet Secafi pour les instances de représentation du personnel, Fidor a représenté 38 millions d’euros de pertes. “D’après une source interne, une nouvelle mouture du business plan de la fintech prévoyait il y a peu un retour à l’équilibre opérationnel en 2020, mais l’avenir de Fidor n’est pas encore arrêté”, ajoute Le Monde.

Les charges liées au passif de la néo-banque allemande ont causé de lourdes pertes qui ont obligé BPCE à procéder en 2017 à une augmentation de capital de 89 millions d’euros, avait révélé le journal Les Echos en avril.

Aude Fredouelle
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