Accueil > Services bancaires > Banque au quotidien > Libra pourrait faire transiter 20% de ses transactions sur une blockchain publique d’ici 2025 Libra pourrait faire transiter 20% de ses transactions sur une blockchain publique d’ici 2025 Par . Publié le 12 septembre 2019 à 16h23 - Mis à jour le 12 septembre 2019 à 16h23 Ressources Dans une interview donnée au Forum international de la blockchain de l’OCDE le 12 septembre, le directeur général de l’association Libra Bertrand Perez a expliqué qu’à son lancement en 2020, le Libra fonctionnera entièrement sur une blockchain de consortium (réseau permissionné) “pour des questions de rendement (…) et de sécurité“. “Dans les cinq ans après notre lancement, a-t-il précisé, si le niveau de notre technologie le permet, nous déplacerons 20% de notre volume vers un réseau sans permission (blockchain publique, ndlr).” Le COO de Libra a par ailleurs souligné la différence entre son association et Facebook, qui participe au projet Libra via sa filiale Calibra. Il a assuré que tous les membres de l’association devront se conformer aux mêmes règles de KYC et de protection des données. Puis, après avoir rappelé que les cas d’usage seraient très différents d’une entreprise à une autre, il a suggéré : “si un client n’a pas confiance dans le wallet de Calibra, il pourra tout à fait se tourner vers le wallet d’un autre de nos membres.” À noter : Dans la matinée, Bruno Le Maire a fait part du refus de la France d’autoriser le développement du crypto-actif “sur le sol européen, au motif que celui-ci remettait “la souveraineté monétaire des Etats en jeu”. Une annonce faite alors que Libra n’a déposé a priori aucune demande d’agrément auprès d’un pays de l’Union Européenne pour le moment. blockchaincryptoactifcryptomonnaieKYCprotection des données Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind