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Accueil > Services bancaires > Ma French Bank se veut complémentaire à l’offre de La Banque Postale

Ma French Bank se veut complémentaire à l’offre de La Banque Postale

La banque mobile annonce son lancement public pour le 22 juillet 2019. Elle vise plus d'un million de clients à horizon 2025, ce qui lui permettrait d'atteindre le point mort.

Par Antoine Duroyon. Publié le 15 mai 2019 à 8h56 - Mis à jour le 19 juillet 2021 à 17h24
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Initialement annoncé pour 2017, puis repoussé une nouvelle fois l’année suivante, le lancement public de la banque mobile de la Banque Postale interviendra le 22 juillet 2019, après une avant-première auprès des collaborateurs du groupe La Poste. Etablissement de crédit agréé par la Banque Centrale Européenne depuis janvier 2018, Ma French Bank sera accessible sans condition de revenus dès son lancement dans 2 000 bureaux de poste ainsi qu’au travers d’un parcours entièrement dématérialisé (sur mobile, tablette ou ordinateur). Comme Orange Bank, Ma French Bank se démarque donc, sur le marché encombré des néo-banques, par une offre relativement complète d’entrée de jeu (PFM, crédit, assurance…). 

L’offre forfaitaire à deux euros par mois comprend une application, un compte sans découvert et une carte Visa internationale (sans frais pour les retraits et les paiements en France et à l’étranger). L’accent est volontairement porté sur des services visant à simplifier et optimiser la gestion financière au quotidien : suivi du solde et des opérations en temps réel, solution d’épargne automatique, ligne de crédit renouvelable, virement par SMS (avec nécessité pour le destinataire de renseigner son IBAN), paiement par Apple Pay, catégorisation des dépenses. 

Mais alors que la banque mobile cible, au-delà des 18-35 ans, une clientèle digitale multi-bancarisée, aucune fonction d’agrégation n’est proposée au lancement. L’application de La Banque Postale a intégré de son côté depuis octobre 2018 l’agrégateur de la start-up Eurobits. Alice Holzman, directrice générale de Ma French Bank, a annoncé le 14 mai qu’une solution d’agrégation, déjà prête, serait proposée dans une prochaine version de l’application après la mise en place de la DSP2.

Plus de 200 personnes mobilisées

Des services communautaires et non bancaires sont aussi mis en avant : cagnotte sans frais (Let’s Cagnotte), solution de gestion et d’équilibrage des dépenses entre amis (We Partage) et financement participatif avec l’intégration de la plateforme KissKissBankBank (rachetée en juin 2017 par La Banque Postale). Enfin, des garanties d’assurance complémentaires seront proposées pour 2 euros supplémentaires par mois : moyens de paiement, espèces, clés et papiers, protection de l’identité, etc. “A terme, nous irons vers Ma French Bank Assurance“, a indiqué Rémy Weber, président du directoire de La Banque Postale.

Le projet Ma French Bank a mobilisé plus de 200 personnes. La banque mobile s’appuie sur plusieurs ressources de sa maison mère et du groupe La Poste  : notamment l’établissement de monnaie électronique Ezyness, qui utilise le core banking de Tag Pay, pour les solutions de cagnottage et de partage des dépenses, La Banque Postale Financement pour la ligne de crédit renouvelable et Docaposte pour la signature électronique. L’infrastructure a été acquise sous forme de licence auprès de la banque polonaise mBank, avec l’aide du partenaire Accenture, ce qui a nécessité une adaptation aux contraintes locales.

L’équipe de direction de Ma French Bank, logée dans les bureaux de l’incubateur fintech de La Banque Postale platform58, assure que l’offre sera complémentaire à celle de La Banque Postale. Le défi sera néanmoins, en bureau de poste, de réussir à orienter de manière adéquate les clients vers les offres La Banque Postale ou Ma French Bank. Et pour les clients digitaux, là où Orange Bank vante son conseiller virtuel Djingo (propulsé par IBM Watson), Ma French Bank met l’accent sur son service client basé à Lille.

Antoine Duroyon
  • banque mobile
  • néobanque

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