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Accueil > Services bancaires > Banque au quotidien > Offres bancaires low-cost : les acteurs traditionnels avancent leurs pions

Offres bancaires low-cost : les acteurs traditionnels avancent leurs pions

Alors que le compte courant en ligne de Carrefour Banque, C-zam, a séduit 90 000 clients en six mois, Crédit Agricole prépare le lancement d’Eko !, une offre bancaire à deux euros par mois.

Par Aude Fredouelle. Publié le 26 octobre 2017 à 15h21 - Mis à jour le 26 octobre 2017 à 15h21
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A quelques jours du lancement d’Orange Bank et alors que les néo-banques des start-up gagnent progressivement du terrain, les acteurs traditionnels accélèrent eux aussi sur le low-cost. Carrefour Banque a révélé le 23 octobre avoir recruté en six mois 90 000 clients pour son offre bancaire C-zam, soit une moyenne de 15 000 utilisateurs par mois.

C’est une victoire pour le bancassureur détenu par Carrefour et BNP Paribas : N26 a de son côté franchi les 100 000 utilisateurs sept mois après son lancement, mais l’offre de base de la néo-banque allemande est gratuite et seuls 30% des utilisateurs français payent l’offre premium. C-zam, de son côté, facture 5 euros l’achat du coffret dans l’un des 3 000 points de vente de Carrefour puis 12 euros par an pour le compte courant et la carte. Surtout, 70% des souscripteurs sont de nouveaux clients Carrefour Banque et Assurance.

Autre point de satisfaction pour Carrefour Banque : lors du lancement de C-zam, les dirigeants assuraient vouloir en faire un compte principal pour une partie des clients. Le pari est réussi : selon la banque, un client sur trois a indiqué ouvrir C-zam en compte principal. Le bancassureur a aussi révélé que 28% des utilisateurs de C-zam ont moins de 30 ans et 51% ont entre 31 et 50 ans. 88% des ouvertures de comptes sont réalisées en totale autonomie par les clients à partir de leur smartphone ou du site dédié et 75% des connexions à l’espace client sont réalisées depuis un smartphone.

L’offre low-cost de Crédit Agricole proposera un chéquier

Les premiers résultats encourageants de Carrefour Banque devraient donner confiance aux autres acteurs traditionnels en train de concocter leurs offres low-cost. Cbanque a d’ailleurs donné le 23 octobre des détails sur celle que prépare le Crédit Agricole. Baptisée Eko !, elle sera facturée deux euros par mois (soit 24 euros par an, le double de C-zam) et comprendra le compte courant, une carte bancaire international Mastercard et un chéquier – avantage notable par rapport à C-zam et à l’écrasante majorité des néo-banques et un atout pour faire d’Eko ! un compte principal.

L’accès à l’espace personnel se fera sur le site Crédit Agricole ou l’application Ma Banque. L’offre inclura les retraits dans les distributeurs Crédit Agricole et 25 retraits par an dans des DAB d’autres banques en zone SEPA ainsi que 10 retraits par an hors zone SEPA. Au-delà, les retraits seront payants, “généralement facturés un euro, avec des différences selon les caisses”, révèle Cbanque. A priori, les clients Eko ! n’auront pas d’autorisation de découvert.

Orange, Crédit Mutuel Arkéa et la Banque Postale dans les starting-blocks

Le 2 novembre, ces offres seront rejointes par celle d’Orange Bank, qui vise deux millions de clients d’ici 2024 avec son offre de compte et de carte gratuite (sous peine d’être utilisée) et pourra, comme C-zam, s’appuyer sur un réseau physique pour la commercialiser. En 2018, la banque en ligne de la Banque Postale devrait aussi se positionner sur le low-cost. Sans compter la sortie en décembre du compte de paiement et de la carte bancaire agrégatrice complètement gratuits de max, assistant personnel et nouvelle filiale du Crédit Mutuel Arkéa (lire notre interview de Didier Ardouin, directeur général en pages 8 à 10), ainsi que celle de la néo-banque de Pumpkin, application de paiement rachetée par le groupe cet été, avant la fin de l’année. De quoi redessiner le secteur.

Aude Fredouelle
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