Accueil > Services bancaires > Open banking > Open banking : Tink lève 90 millions d’euros Open banking : Tink lève 90 millions d’euros Par Aude Fredouelle. Publié le 20 janvier 2020 à 16h16 - Mis à jour le 20 janvier 2020 à 16h16 Ressources La plateforme suédoise d’open banking Tink a annoncé le 20 janvier avoir bouclé une levée de fonds de 90 millions d’euros pour soutenir son expansion européenne. Le tour de table a été codirigé par Dawn Capital, HMI Capital (qui sont entrés au capital de la start-up) et Insight Partners (investisseur historique). Il a été complété par Poste Italiane, opérateur postal et principal réseau de services financiers en Italie, qui entre au capital, et par les investisseurs historiques Heartcore Capital, ABN Amro Ventures et Opera Tech Ventures (filiale de BNP Paribas). Fondée en 2012 à Stockholm, Tink est opérationnelle dans 12 pays d’Europe, dont la France, et compte plus de 270 collaborateurs. La start-up assure être connectée à plus de 2 500 banques qui touchent elles mêmes plus de 250 millions de clients, pour accéder aux données de transactions. Comme les autres agrégateurs, elle doit passer progressivement du web scraping aux APIs mises en place suite à l’entrée en application de la DSP2. Au-delà de la simple agrégation, Tink propose l’enrichissement des libellés et l’initiation de virements puis l’intégration de ces briques dans divers parcours, pour l’onboarding ou le credit scoring par exemple. À noter : parmi les clients de Tink, ABN Amro, PayPal, BNP Paribas Fortis, Klarna, Caixa Geral de Depositos ou Nordea. Tink a ouvert un bureau à Paris en juin 2019 mais le français Budget Insight demeure pour l’instant leader dans l’Hexagone. Aude Fredouelle agrégateurAPIDSP2open banking Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire Tink ouvre un bureau à Paris et nomme Jérôme Albus (ex-FIS) à sa tête DSP2 : 50% des APIs des banques françaises ne sont pas encore en production Agrégation et crédit en ligne : retour sur les premières expériences françaises Tribune gratuit DSP2 : trois mois après, Budget Insight fait le bilan