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Accueil > Services bancaires > Open banking > Steve Fogue (Particeep) : “Nous allons nouer des partenariats avec des éditeurs globaux”

Steve Fogue (Particeep) : “Nous allons nouer des partenariats avec des éditeurs globaux”

Particeep a levé 800 000 euros en octobre 2016, en partie auprès de son partenaire historique Axa Strategic Ventures.

Par Antoine Duroyon. Publié le 15 décembre 2016 à 17h23 - Mis à jour le 28 janvier 2025 à 16h05
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Plate-forme de crowdfunding à l’origine, Particeep a “pivoté” vers la dématérialisation des opérations de financement en ligne. Comment évolue votre offre ?

La tendance actuelle fait que nous passons d’un produit pré-packagé à une API (interface de programmation applicative) qui permet de proposer notre moteur de fonctionnalités par briques. Cette logique facilite l’évo­lutivité et la personnalisation du parcours utilisateur et peut s’appliquer à la distribution de produits financiers, à l’investissement (du sourcing jusqu’à la sortie) ou à l’appel à projets. Elle implique aussi un coût que nous estimons sur une année vingt fois inférieur à celui d’une solution intégrée sur site. Nos clients se répartissent entre grands comptes à 14% (Société Générale, La Poste, Altran…), acteurs de la finance alternative à 69% et sociétés de gestion (Vatel Capital…) à 17%.

Quels sont les facteurs qui favorisent cette tendance à la plateformisation ?

On observe en moyenne une baisse de 40% des dépenses opérationnelles chez les sociétés financières, alors que les acteurs, notamment bancaires, doivent redigitaliser leurs offres et accroître leur productivité. La gestion de la donnée client devient cruciale dans la stratégie commerciale. Problème : le core banking system est une machinerie complexe et coûteuse à faire évoluer. Des plateformes comme la nôtre permettent de gagner en agilité et d’alimenter en données le core banking system. Les données sont hébergées chez Amazon Web Services et chez Clever Cloud en France. Nos clients utilisateurs sont au nombre d’une cinquantaine en France et à l’international (Royaume-Uni, Etats-Unis et Moyen-Orient).

Vous avez levé 1,35 million d’euros depuis 2013. Dans quelles directions allez-vous porter vos efforts ?

La société compte une quinzaine de collaborateurs, dont un tiers sur des fonctions commerciales. Nous souhaitons étoffer cette partie “sales” en recrutant notamment des profils financiers afin de mieux servir les sociétés de gestion. Notre acquisition client provient majoritairement du canal web (à 50%), devant les recommandations et les réseaux de distribution (à parité). Pour améliorer notre accès au marché, nous comptons intensifier cette dernière source en annonçant, dans les prochains mois, des partenariats avec des éditeurs globaux en France et aussi à l’étranger. Au-delà de cette dimension commerciale, nous devons également renforcer notre équipe IT. Nos efforts de R&D permettent de sortir une trentaine de nouvelles fonctionnalités chaque mois. À l’horizon de la fin de 2017, nous visons 1 million d’euros de chiffre d’affaires.

 

 

Antoine Duroyon
  • API
  • plateformisation

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