Accueil > Financement et politiques publiques > Utilisation des données de santé : beaucoup plus de bénéfices que de risques, selon le HDH Utilisation des données de santé : beaucoup plus de bénéfices que de risques, selon le HDH Par Clarisse Treilles. Publié le 11 janvier 2024 à 16h57 - Mis à jour le 11 janvier 2024 à 17h29 Ressources Alors que la numérisation du système de santé s’opère, faut-il craindre une surexploitation des données de santé dans la recherche ? Le conseil scientifique consultatif du Health Data Hub (HDH) estime que non. Dans un article, les experts soutiennent l’utilisation des données de santé pour la recherche, jugeant que les bénéfices dépassent largement les risques au vu des mesures de sécurité appliquées en France. Selon le conseil, le recours aux données de santé à des fins de recherche permet entre autres “de faciliter la surveillance épidémiologique, de mesurer l’efficacité des soins, de documenter les effets des innovations qui sont introduites par l’évolution des pratiques ou encore d’identifier les potentielles inégalités de soins”. A contrario, des dangers subsistent, comme “le risque de vol de données ou de révélation de données personnelles”, à relativiser pour les données pseudonymisées et anonymisées. À noter : Les auteurs de l’article notent en revanche des freins à la diffusion des jeux de données, à commencer par la bataille entre hébergeurs pour le stockage des données et la lenteur d’accès au SNDS souvent mise en cause. Clarisse Treilles Données de santéDonnées personnellesRechercheStratégie Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind