Pour s’inviter dans les conversations mobiles et s’adresser aux jeunes audiences, les annonceurs s’adaptent à leurs usages en misant sur de nouveaux formats et de nouvelles pratiques. Parmi celles-ci, les émoticônes, ou émojis, ces symboles qui traduisent une émotion en un symbole ou une image. Si intégrer la liste officielle du Consortium Unicode, qui encadre ces vignettes, est une gageure, des alternatives existent. En France, quelques marques ont testé ces alternatives en 2015, via l’application gratuite développée par la start-up Feeligo. Pour quelles marques et pour quelles campagnes ? Quelles cibles ? Quels budgets pour quels résultats ? mind-Satellinet a interrogé Guerlain, La Poste, Havas Media, Starcom MediaVest, Performics et Feeligo, pour tirer les enseignements des premières expériences publicitaires utilisant les émoticônes.
Comment renouer le lien avec les Millennials et fidéliser cette génération de consommateurs qui migre vers des plateformes en ligne de plus en plus fermées (Snapchat, WhatsApp…) et utilise de plus en plus souvent des adblockers ? Depuis quelques mois, la réponse des marques à cette question prend parfois la forme d’un rond jaune avec deux petits ronds noirs à l’intérieur, et toutes les variantes possibles des émoticônes, aussi nommés emojis. En 2015, Coca Cola, Ikea, McDonald’s, General...
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Lundi 14 décembre 2015