Open banking : les institutions financières privilégient la mise en conformité à l’amélioration de l’UX

Une nouvelle étude de la plateforme Tink à propos des investissements des institutions européennes en open banking révèle que les cas d’usage priorisés sont ceux liés à la conformité. Ainsi, 41% des institutions privilégient les services d’identité numérique, 41% l’automatisation des processus KYC et 37% le contrôle des transactions. Viennent ensuite des cas d’usage liés à l’amélioration de l’expérience client : les services de gestion financières (36% des sondés), l’automatisation des processus d’intégration client (35%), et les applications multi-bancaires (33%).

Les sondés français se distinguent cependant de la moyenne européenne : le premier cas d’usage cité par 38,7% des répondants est celui du scoring de risque (lire notre dossier sur les premières expériences françaises en la matière), suivi par les services d’identité numérique (35,5%) et la surveillance des transactions (35,5%).

À noter : en juin dernier, une autre étude de Tink se penchait sur les budgets investis par les banques européennes dans l’open banking et leurs attentes en termes de retours sur investissements : nouvelles sources de revenus, économies réalisées… mind Fintech analysait ici ses conclusions