• Contenus gratuits
  • Notre offre
Menu
  • Ressources
    • Toutes les ressources
  • Infos
    • Toutes les infos
  • Essentiels
    • Tous les essentiels
  • Analyses
    • Toutes les analyses
  • Data
    • Data
  • Newsletters
  • Profil
    • Je teste 15 jours
    • Je me connecte
  • Profil
    • Mon profil
    • Je me déconnecte
CLOSE

Accueil > Services bancaires > Tarifs, modes de facturation, type de carte… Quelles offres les banques en ligne et les néobanques proposaient-elles fin 2021 ?

Tarifs, modes de facturation, type de carte… Quelles offres les banques en ligne et les néobanques proposaient-elles fin 2021 ?

Dans le cadre de notre panorama annuel des banques en ligne et néobanques qui comptent le plus de clients en France, nous avons comparé les offres de 27 acteurs disponibles fin 2021. Certaines banques en ligne s’essaient au tout gratuit pour imiter les nouveaux entrants, tandis que ces derniers commencent à réintroduire des frais.

Par Aymeric Marolleau, Antoine Duroyon et Aude Fredouelle. Publié le 30 mars 2022 à 17h42 - Mis à jour le 31 mars 2022 à 14h48
  • Ressources

Série

Cet article est le deuxième d’une série consacrée aux banques en ligne et néobanques, comparant le nombre de leurs clients en France et dans le monde, ainsi que leurs offres : 

  • Près d’une dizaine de néobanques et banques en ligne comptaient plus de 500 000 clients en France fin 2021
  • Tarifs, modes de facturation, type de carte… Quelles offres les banques en ligne et les néobanques proposaient-elles fin 2021 ?

Pour mieux comprendre la stratégie des banques en ligne, challengers et néobanques, nous avons relevé les détails de 72 offres proposées par 27 acteurs présents en France : modèle de tarification, montant des cotisations, condition d’accès, carte… (voir méthodologie).

Le détail des offres des banques en ligne et néobanques

Pour segmenter leurs clients selon leurs besoins et leur pouvoir d’achat, 22 acteurs proposent plus d’une offre avec carte. Nickel et N26 en proposent même cinq. Outre le compte Nickel classique et Nickel Jeune (réservé aux 12-18 ans), pour 20 euros par an, la filiale de BNP Paribas propose ainsi My Nickel (carte nominative au design personnalisé pour 23,33 euros par an), Nickel Chrome (assurances et assistances exclusives, tarification avantageuse à l’étranger, pour 50 euros par an), et, depuis septembre 2021, Nickel Metal (carte haut de gamme, avec des retraits et paiements sans frais en France et à l’étranger, pour 100 euros par an).

Quels modèles de tarification ?

Le modèle payant (avec une facturation mensuelle ou annuelle, et/ou avec des frais de souscription pour la commande de la carte) domine toujours, puisqu’il représente 68,1 % des offres étudiées. 18,1 % des offres sont gratuites sous conditions et 13,9 % d’entre elles sont entièrement gratuites.

Ce modèle n’est toutefois pas majoritaire chez les banques en ligne, qui lui préfèrent souvent le modèle gratuit sous conditions (d’achats, d’utilisation de la carte ou de virements). Fin 2021, un seul challenger proposait ce modèle. Il s’agit d’Orange Bank, dont la carte Standard n’est gratuite que si l’utilisateur réalise au moins un paiement ou retrait d’espèces par carte bancaire ou paiement mobile par mois. Sinon, il doit s’acquitter de 2 euros par mois. 

Quelles offres gratuites ?

Dix acteurs proposent au moins une offre entièrement gratuite. Trois banques en ligne figurent parmi elles : ING France – dont la fermeture a été annoncée fin 2021 – avec l’Offre Essentielle, Hello Bank! avec Hello One et Boursorama Banque avec FREEDOM (carte Visa Classic, application dédiée et contrôle parental entièrement en ligne), son offre destinée aux 12-17 ans, mais réservée aux enfants de ses clients. Il s’agit d’une refonte de l’offre KADOR, lancée en 2018 par la filiale du groupe Société Générale et qui comptait 60 000 clients en mars 2021. 

Quels tarifs en 2021 ?

38 offres sont entièrement payantes et mensualisées. Leur tarif moyen est de 7,1 euros, avec de grandes disparités : 17,99 euros pour Easy Green, de Bunq (25 sous-comptes inclus, trois cartes physiques, 25 cartes virtuelles, une carte de remplacement par an, quatre retraits par mois), contre 2 euros seulement pour Pratiq, de Monabanq, par exemple.

Parmi les nouveautés de 2021, citons l’offre Idéal de Ma French Bank, lancée en septembre 2021 et facturée 6,9 euros par mois. “Nous espérons qu’environ 20 % de la base de clients sera sur cette offre d’ici fin 2022, à la fois en montée en gamme et avec les nouveaux clients, et que 20 % de nos futurs clients opteront pour cette offre haut de gamme. L’objectif, pour amortir nos coûts et atteindre l’équilibre en 2025, est d’augmenter nos revenus par client sur ceux pour lesquels c’est possible, et de faire croître la base”, indiquait à mind Fintech l’ex-directrice générale de la banque, Alice Holzman, en septembre 2021. Dans le même temps, l’offre existante a été rebaptisée Original, et son prix est passé de 2 à 2,9 euros. 

Tandis que les néobanques vertes spécialisées OnlyOne et Helios se sont lancées début 2021, la néobanque Aumax pour moi, filiale du Crédit Mutuel Arkéa, a aussi dévoilé en janvier 2022 une offre green. Baptisée “la carte qui s’engage”, elle comporte tous les équivalents de la carte Aumax premium mais aussi l’outil de calcul d’empreinte carbone de Greenly et un partenariat avec une association partenaire de protection des océans à qui est reversé le cashback.

Les néobanques vertes se lancent en France

Par ailleurs, sept offres facturent une cotisation annuelle. Elle s’élève à 200 euros pour Visa Infinite, de BforBank, et à 110 euros pour Nickel Metal, de Nickel, par exemple.

Six offres imposent des frais d’inscription ou d’envoi de la première carte allant de 19,99 euros pour Carte Black (Fintch) à 4,99 euros pour Standard (Revolut).

Quels partenaires BaaS ?

Nous nous sommes aussi penchés sur les partenaires de Banking-as-a-Service (BaaS) des acteurs de notre panel qui n’ont pas développé leur propre stack bancaire (ouverture et gestion des comptes, fraude, KYC…). Ceux-ci travaillent avec six partenaires différents, mais Treezor, que Société Générale a acquis en 2018, est le plus représenté, puisqu’il équipe quatre acteurs (Fintch, Pixpay, Xaalys et OnlyOne). Il devance l’Allemand Solarisbank, lancé en France mi-2021, qui fournit des API bancaires à Vivid Money, Helios et CanB.

Notre interview de Jean-François Guillaumin, directeur général France de Solarisbank : “Contis va renforcer l’offre de Solarisbank dans l’émission de cartes”
Les acteurs du banking-as-a-service

Quelles cartes ?

Mastercard travaille avec 63 % des acteurs présents en France, contre 40,7 % pour Visa. Le total est supérieur à 100 % car au moins un acteur (Revolut) travaille à la fois avec Visa et avec Mastercard. Mastercard s’est particulièrement imposé auprès des néobanques et des challengers, tandis que Visa travaille avec la majorité des banques en ligne. Si Mastercard s’est positionné bien plus rapidement auprès des fintech en s’adaptant à leurs contraintes, Visa tente de rattraper son retard depuis 2018 avec des équipes dédiées.

Méthodologie

En décembre 2021, nous avons consulté 72 offres de compte de paiement ou compte à vue avec carte bancaire, physiques ou virtuelle – et leurs conditions tarifaires – de 27 banques en ligne et néobanques présentes en France. Nous les avons ensuite sollicitées afin de confirmer nos données.

Voici les critères selon lesquels nous avons classés les modèles d’offres :

Payant : frais d’inscription, d’envoi de carte, ou cotisation mensuelle ou annuelle.

Gratuit sous conditions : selon les offres, conditions d’achat, d’utilisation, de virement ou de revenus.

Gratuit : sans frais d’inscription ni cotisation mensuelle, sans conditions d’achat, d’utilisation, de virement ou de revenus.

Pour rappel, nous utilisons le terme de néobanque pour qualifier des acteurs qui ne disposent pas d’une licence bancaire, et ceux de challenger et de banque en ligne pour désigner des nouveaux entrants et acteurs historiques pleinement régulés.

Pour toute remarque ou question, contactez-nous : datalab@mind.eu.com

Aymeric Marolleau, Antoine Duroyon et Aude Fredouelle
  • banque en ligne
  • néobanque

Besoin d’informations complémentaires ?

Contactez Mind Research

le service d’études à la demande de mind

À lire

Près d’une dizaine de néobanques et banques en ligne comptaient plus de 500 000 clients en France fin 2021

Le classement des néobanques et banques en ligne qui ont le plus de clients en France

Les offres des acteurs de la banque numérique

Découvrez nos contenus gratuitement et sans engagement pendant 15 jours J'en profite
  • Le groupe mind
  • Notre histoire
  • Notre équipe
  • Nos clients
  • Nos services
  • mind Media
  • mind Fintech
  • mind Health
  • mind Rh
  • mind Retail
  • mind Research
  • Les clubs
  • mind et vous
  • Présentation
  • Nous contacter
  • Vous abonner
  • A savoir
  • Mentions légales
  • CGU
  • CGV
  • CGV publicité
  • Politique des cookies
Tous droits réservés - Frontline MEDIA 2025