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Accueil > Services bancaires > Paiements > En perte de vitesse, Spendesk voudrait se séparer d’un quart de ses effectifs

En perte de vitesse, Spendesk voudrait se séparer d’un quart de ses effectifs

La plateforme de gestion des dépenses pour les entreprises Spendesk s'apprêterait à se séparer de 151 salariés. La croissance de la société qui avait levé 100 millions d'euros début 2022 est en perte de vitesse et elle cherche à réduire ses pertes.

Par Aude Fredouelle. Publié le 19 septembre 2024 à 16h50 - Mis à jour le 20 septembre 2024 à 16h46
Spendesk
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Spendesk lance un plan de réduction de sa masse salariale, selon Les Échos. La fintech voudrait se séparer de 151 personnes sur environ 570 salariés répartis en France, au Royaume-Uni, en Espagne et en Allemagne, soit un quart des effectifs. En France, Spendesk a ouvert un plan de départ volontaire concernant tous les départements. 

“Nous terminerons probablement 2024 avec une croissance en perte de vitesse et une consommation importante de cash”, a écrit Rodolphe Ardant, cofondateur et CEO, dans un mail interne que le quotidien économique s’est procuré. La société ne communique pas sur ses résultats financiers mais, début 2024, le CEO assurait à mind Fintech avoir dépassé les 10 milliards d’euros de dépenses traitées par an en 2022 (contre 3 milliards en 2021) et compter 200 000 utilisateurs finaux, contre 150 000 environ un an auparavant. 50 % du chiffre d’affaires serait réalisé à l’étranger.

Concurrence accrue et abandon de l’expansion aux Etats-Unis

Spendesk doit faire face à une concurrence accrue sur le segment de la gestion des dépenses d’entreprises, attaqué à la fois par les néobanques pour les pros et les solutions de comptabilité. Pour atteindre ses ambitions, l’entreprise a cherché un relais de croissance dans une expansion aux États-Unis, initiée en 2021 avec une équipe de trois personnes, mais a fait machine arrière pour finalement fermer le bureau. “La plateforme est disponible aux États-Unis, mais uniquement pour les entreprises européennes disposant d’une filiale dans le pays”, indiquait ainsi le CEO début 2024 à mind Fintech. La société s’était valorisée à 1,1 milliard de dollars début 2022 à l’occasion d’une levée de 100 millions d’euros, juste avant que les valorisations ne subissent une forte correction, que la croissance ralentisse et que les investisseurs imposent le cap vers la rentabilité.

Spendesk a lancé des travaux pour s’affranchir de son prestataire de core banking Bankable, ainsi que d’Okali (gestion des comptes et SEPA) et de Transact Payments (gestion des cartes). Objectif : gérer l’UX de bout en bout pour améliorer l’expérience utilisateur. 

Aude Fredouelle
  • gestion des dépenses

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