Qu’est-ce qui pousse la MAIF à se tourner vers l’open source ?
Guillaume Rincé : Dans l’ADN de la MAIF, il y a le souci d’une contribution à la société. Il nous semble donc pertinent d’inclure dans cette contribution sociétale une dimension technologique. Notre conviction repose aussi sur le fait que nous voulons revenir artisan de nos solutions. Comme beaucoup de sociétés de taille importante, nous sommes passés par une démarche partenariale avec des centres de services. Mais l’arrivée du digi
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