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Accueil > Investissement > Shares mise sur les cryptoactifs et obtient l’enregistrement PSAN

Shares mise sur les cryptoactifs et obtient l’enregistrement PSAN

Le néocourtier Shares a décroché l’enregistrement PSAN en France, quelques semaines après avoir ouvert les marchés belge et polonais. La cryptotech belge elyps est elle aussi autorisée par l’AMF à proposer ses services dans l’Hexagone.

Par Caroline Soutarson. Publié le 07 avril 2023 à 16h59 - Mis à jour le 11 avril 2023 à 16h03
Shares Vignette
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L’application de social trading Shares devrait bientôt arriver en France. Le néocourtier a en effet obtenu l’autorisation d’adresser pleinement le marché français pour les services de conservation d’actifs numériques et d’échange d’actifs numériques contre d’autres actifs numériques, auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF), via sa filiale Shares Digital Assets SAS. Contrairement à ses concurrents Bitpanda, Trade Republic ou encore Bux, également détenteurs de l’enregistrement PSAN, Shares n’est cependant pas autorisé à proposer de l’achat et de la vente d’actifs numériques contre monnaie ayant cours légal (lire notre dossier : “Comment les néocourtiers composent avec les marchés baissiers”). Contactée, la société n’a pas souhaité commenter ce choix.

La liste des PSAN enregistrés auprès de l’AMF

Shares entame son expansion européenne

Lancée au Royaume-Uni il y a un an avec une offre de trading en actions, Shares avance ses pions dans l’Union européenne. En juillet 2022, alors qu’elle bouclait sa Série B de 40 millions de dollars auprès de Valar Ventures, la société a décroché son enregistrement pour proposer des activités sur actifs numériques en Pologne. En décembre suivant, le régulateur italien lui donnait le même feu vert. Début 2023, l’entreprise a nommé son responsable pour la France et le Benelux en la personne de Stanislas Chertok, ancien chief of staff de l’entreprise. Puis, dans la foulée, l’application a été déployée fin mars en Belgique et en Pologne. D’après sa FAQ, le néocourtier énumère huit autres pays qui pourraient bénéficier de sa solution : la Hongrie, Lituanie, Irlande, Danemark, Lettonie, Suède, Slovénie et Portugal.

Le service intra-UE diffère toutefois de celui proposé outre-Manche. Les clients belges et polonais ont accès à du trading de cryptoactifs (dans un premier temps) tandis que que les 160 000 utilisateurs britanniques revendiqués par la plateforme disposent d’actions (pour l’instant). Par ailleurs, la tarification a aussi changé. Alors que la start-up misait sur le trading sans commission à son lancement au Royaume-Uni, le trading de cryptoactifs est quant à lui accompagné d’une commission de 1,49 %.

Fin 2022, le cofondateur et CEO de l’application d’investissement, Benjamin Chemla, avait annoncé démarrer des tests de produits en Europe, dont l’ajout des cryptoactifs. “Je pense que proposer de la crypto est devenu une nécessité. La crypto, et plus particulièrement les principales cryptomonnaies, sont désormais assez courantes en tant qu’actifs”, déclarait-il alors. 60 d’entre elles ont intégré l’offre de départ. Les ETF sont également sur la feuille de route. La brique “réseau social”, censée faire la particularité de Shares, est commune à tous les pays.

Le Belge elyps obtient aussi l’enregistrement PSAN

Autre PSAN à décrocher l’enregistrement de l’AMF début avril : la cryptotech belge elyps, pour les services d’achat et vente d’actifs numériques contre monnaie ayant cours légal, conservation d’actifs numériques et échange d’actifs numériques contre d’autres actifs numériques. Agréée agent de monnaie électronique auprès de la Banque de Lituanie et de la FCA et gestionnaire de fonds d’investissement alternatifs au Luxembourg, elyps propose notamment aux entreprises des comptes courants, séquestres et dépositaires, des wallets de stablecoins, de la conservation, ainsi que des services de paiement. “Notre but est de créer un pont entre les sphères fiat et crypto. Nous ciblons principalement les exchanges, les market makers et les grosses fintech qui ont besoin de se bancariser – mais qui n’y arrivent pas autrement à cause de leur activité crypto – et de faire du change crypto-fiat”, déclare à mind Fintech le cofondateur et CEO d’elyps Vincent Dupontreué Scialom. Les banques traditionnelles sont en effet réticentes à ouvrir des comptes aux acteurs effectuant des transactions crypto, indiquait l’étude de l’Association pour le développement des actifs numériques (Adan) et de KPMG rendue à Bercy début 2022. La banque Delubac & Cie, enregistrée en tant que PSAN il y a un an, entend également répondre à ce besoin.

C’est un virage complet pour la fintech belge que mind Fintech avait rencontrée en 2021. À l’époque, l’entreprise se présentaitt davantage comme une néobanque à impact. Elle ciblait une clientèle BtoC qui ne pouvait arriver sur sa plateforme que sur invitation de ses membres, disposait d’une marketplace de produits durables et proposait des missions de bénévolat, le tout en souhaitant être neutre en émissions carbone. Le revirement est la conséquence d’un constat : “les néobanques green, et plus globalement les néobanques retail, ne fonctionnent pas”, déplore Vincent Dupontreué Scialom. 

Caroline Soutarson
  • cryptoactif
  • PSAN
  • régulation
  • trading

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