Accueil > Services bancaires > Innovations incrémentales et adjacentes accaparent les acteurs du paiement Innovations incrémentales et adjacentes accaparent les acteurs du paiement Par Aude Fredouelle. Publié le 14 janvier 2022 à 17h12 - Mis à jour le 14 janvier 2022 à 18h20 Ressources Les acteurs du paiement préfèrent les innovations adjacentes, c’est-à-dire l’ajout d’un nouvel usage à un nouveau produit déjà existant, et les innovations incrémentales (amélioration de produits ou services existants) aux innovations de rupture (création d’un nouveau produit sans lien avec un besoin ou une demande exprimée), selon un nouveau baromètre Deloitte de l’innovation chez les jeunes acteurs du paiement innovant exerçant en France. Si la plupart des secteurs enregistrent une répartition de l’ordre de 70 % d’innovations incrémentales, 20 % d’innovations adjacentes et 10 % d’innovations de rupture, le marché du paiement montre une forte concentration sur les deux premières catégories. Le premier quart de cercle, représentant les innovations incrémentales, est en effet très actif : création de cagnottes, paiement par wallet ou QR code, notification instantanée de paiement, paiement par e-mail ou SMS… Le second, le plus fourni, représente les innovations adjacentes : cash management, cashback, gestion des abonnements, paiement sur les réseaux sociaux… Parmi celles qui devraient le plus se développer dans les années à venir : le paiement fractionné (BNPL), en pleine explosion, et les solutions de lutte contre la fraude. À noter : Les innovations de rupture ne sont pourtant pas inexistantes sur le marché du paiement. Deloitte identifie sur le segment les SoftPOS (lire notre dossier), le Request to Pay (lire notre dossie) ou encore le paiement en actif numérique (stablecoin). Aude Fredouelle innovationpaiement en lignepaiement mobile Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind