Les normes entourant la cybersécurité des dispositifs médicaux sont, sur le papier, assez strictes en France. La réalité laisse toutefois apercevoir des applications des règles plutôt variées et des exigences qui ne semblent pas toujours intégrées à temps aux produits. La cybersécurité est-elle suffisamment prise au sérieux par les fabricants de dispositifs médicaux et leurs clients ? Quelles sont les bonnes pratiques en la matière ? mind Health a interrogé les fabricants de DM connectés Voluntis, Ad Scientiam et Ambulis, ainsi que l’association Ocssimore et le cabinet de conseil EY.
Publication
14 décembre 2018 à 11h22
Mis à jour le 8 novembre 2021 à 11h31
Temps de lecture
11 minutes
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14 décembre 2018 à 11h22, Mis à jour le 8 novembre 2021 à 11h31
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Ad Scientiam
Dispositifs Médicaux, Essais cliniques, Intelligence artificielle
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Voluntis
Diabète, Objets connectés, Oncologie, Thérapies digitales
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Liouma Tokitsu
Président et fondateur Ad Scientiam
La santé est un secteur vulnérable en matière de cybersécurité. Selon un rapport de la société de conseil informatique Wipro, 41 % des failles repérées dans le monde ciblaient l’industrie de la santé, contre 30 % en 2016. Ce sont en outre les données personnelles qui sont les plus recherchées et, parmi elles, les données de santé. “La valeur commerciale des données de santé est en hausse constante et nous prévoyons donc que ce secteur deviendra parmi les plus à risque en matière de cybersécurité
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