Après avoir convaincu les éditeurs anglo-saxons, où la part de marché de DoubleClick For Publishers (DFP), l'adserver de Google, est très importante, le header bidding tente de plus en plus de leurs confrères français. Ils sont nombreux à avoir lancé des tests ou à étudier cette technologie qui permet aux éditeurs de mettre en concurrence davantage de sources de demande (DSP, adexchanges, adnetworks) lors de leurs ventes en programmatique. Mais elle soulève encore de nombreuses questions : quels gains espérer ? Installée côté client ou côté serveur ? Quel wrapper header bidding ? Quels risques sur la latence des pages ? mind Media a interrogé les premiers éditeurs français à l'avoir mis en place : Webedia, Purch, aufeminin, Nice Matin et La Place Media.
Publication
25 mai 2017 à 13h03
Temps de lecture
11 minutes
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25 mai 2017 à 13h03
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Webedia
Brand content, Marketing digital, Native advertising, Programmatique, Publicité
Le header bidding, outil permettant aux éditeurs de mettre en concurrence DSP, adexchanges et adnetworks lors de leurs ventes d’espaces en mode programmatique avant l’appel de leur adserver, a été adopté par de nombreux éditeurs anglo-saxons, dont Time Inc et MailOnline. Selon BI Intelligence, le service de recherche du site Business Insider, c’était même le cas de près de 70 % des principaux éditeurs américains au printemps 2016.
Peu d’éditeurs les ont imités en France. Webedia, aufeminin
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