Accueil > Investissement > bunq dévoile une fonctionnalité d’investissement avec le robo-advisor Birdee bunq dévoile une fonctionnalité d’investissement avec le robo-advisor Birdee Par Caroline Soutarson. Publié le 04 février 2022 à 17h46 - Mis à jour le 04 février 2022 à 17h46 Ressources À la mi-décembre, mind Fintech faisait état de la multiplication des solutions d’investissement chez les acteurs bancaires numériques dans son benchmark annuel des fonctionnalités innovantes. Le challenger néerlandais bunq n’échappe pas à la tendance et révèle un service d’investissement responsable. La fonctionnalité est accessible aux clients particuliers et professionnels des offres Easy Money et Easy Green de bunq, facturées entre 8,99 et 20,99 euros par mois. Le challenger s’appuie sur la solution BtoB de Birdee, robo-advisor du groupe Gambit Financial Solutions. Les utilisateurs pourront investir via trois portefeuilles d’investissement et paieront 0,99 % de frais de gestion, 0,40 % allant à Birdee et 0,59 % à bunq. Au quatrième trimestre 2021, le responsable des solutions digitales de Gambit et directeur de Birdee Gaël Minon confiait à mind Fintech que “80 % de nos produits sont investis en fonds ou ETF durables. Et nous travaillons à augmenter ce taux à 100 % d’ici 2022. Nous voulons en faire un facteur différenciant”. À noter : Début décembre, bunq avait annoncé un partenariat avec la plateforme néerlandaise de prêts hypothécaires Tulp Hypotheken afin de proposer à ses utilisateurs du crédit immobilier courant 2022. Caroline Soutarson finance durableinvestissementrobo-advisor Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire bunq proposera du crédit immobilier à partir de 2022 bunq lance une fonctionnalité de compte multi-devise Le challenger bunq atteint une valorisation de 1,6 milliard d'euros Épargne : comment la crise sanitaire a accéléré l’adoption du conseil digitalisé Applis mobiles bancaires : le trading et les crypto gagnent du terrain Néobanques pour les pros : la concurrence accrue fait flamber les coûts d’acquisition