Accueil > Adtechs & Martechs > Fichiers ads.txt (1/2) : les éditeurs français ont augmenté de 72 % le nombre de leurs vendeurs et revendeurs programmatiques depuis 2019 Fichiers ads.txt (1/2) : les éditeurs français ont augmenté de 72 % le nombre de leurs vendeurs et revendeurs programmatiques depuis 2019 Depuis 2017, mind Media décrypte régulièrement les fichiers ads.txt des principaux éditeurs français. Ils sont désormais connectés en moyenne à 78 prestataires de vente différents (SSP, adexchanges, adnetworks), un chiffre en hausse de 72 % par rapport à 2019. Huit éditeurs sur dix ont davantage de revendeurs que de vendeurs directs. Par Sara Chaouki et Paul Roy avec Aymeric Marolleau. Publié le 01 juillet 2022 à 9h17 - Mis à jour le 08 juillet 2022 à 11h01 Ressources Cet article est le premier d’une enquête en deux volets sur les fichiers ads.txt des éditeurs français : Fichiers ads.txt (1/2) : les éditeurs français ont augmenté de 72 % le nombre de leurs vendeurs et revendeurs programmatiques entre 2019 et janvier 2022 Fichiers ads.txt (2/2) : qui sont les 430 prestataires qui ont accès à l’inventaire publicitaire d’au moins un éditeur français ? Afin de lutter contre la fraude dans la publicité en ligne et les pratiques de publicité malveillante, plusieurs initiatives visant à promouvoir la transparence et la traçabilité au sein de l’écosystème publicitaire ont été menées. L’IAB Tech Lab, en particulier, a créé le dispositif Ads.txt dès 2017, suivi en 2019 de Sellers.Json et d’OpenRTB SupplyChain Object, pour répondre aux besoins croissants des annonceurs et des agences souhaitant comprendre le parcours d’une bid request, et d’identifier les acteurs habilités à participer à la vente ou à la revente d’un inventaire publicitaire. A terme, tout vendeur qui proposerait leur inventaire sans figurer dans ces fichiers pourrait être exclu de l’enchère. Les acteurs interrogés s’accordent d’ailleurs sur le fait que le fichier ads.txt donne une vision assez représentative de la politique des régies en matière de partenariats publicitaires : “lorsque l’on connecte de nouveaux partenaires, ils se montrent généralement insistants pour qu’on les ajoute au fichier. Les plus gros éditeurs peuvent toutefois être un peu moins réactifs et souples car ces fichiers n’y sont pas gérés directement par la régie”, rapporte ainsi Sébastien Noël, directeur délégué des activités Programmatique, adtech et monétisation de M Publicité. En janvier 2022, nous avons récupéré les fichiers ads.txt de 92 éditeurs français afin d’analyser 208 196 lignes listant les différentes relations de vente directe et de revente établies entre les éditeurs de notre panel et les prestataires publicitaires. Consultez la liste des prestataires directs et indirects connectés aux éditeurs français de notre panel en janvier 2022, dans notre espace Data Au 31 janvier 2022, 92 des 114 éditeurs français de notre panel possédaient un fichier ads.txt exploitable sur au moins un des sites que nous avons pris en compte, soit 80,7 % d’entre eux. Quels éditeurs déclarent le plus grand nombre de relations ? En moyenne, les éditeurs ont établi une relation directe ou indirecte avec 78 prestataires publicitaires. Parmi les 222 sites médias présents en France sélectionnés pour notre étude, 178 sont des sites d’information ou des éditeurs de contenus écrits répartis en un peu moins d’une dizaine de sous-catégories : la PQN (9), la PQR (39), les pure-players (59), les magazines et hebdos (54) ou encore la presse professionnelle (9). C’est dans la presse TV que l’on trouve les fichiers ads.txt les plus fournis, avec une moyenne de 96,8 relations. Elle est suivie de près par les magazines et hebdos, qui en comptent 92,5 – malgré une grande disparité : 16 relations seulement pour Les Inrocks (LNEI) contre plus de 200 pour Marie-Claire et Cosmopolitan, par exemple -, et les pure-players, qui en affichent 86. Les fichiers ads.txt sont plus légers dans la presse professionnelle, avec une moyenne de 22,3 relations. Editialis travaille par exemple avec 67 prestataires, Infopro Digital 10 et L’Agefi (L’Opinion) seulement cinq. Dans le détail, 28 éditeurs, dont le Groupe Marie Claire, NRJ Group, Webedia ou encore le Groupe Les Echos – Le Parisien déclarent, sur leur fichier ads.txt, être connectés à au moins 100 prestataires publicitaires différents. La tendance à la hausse du nombre de relations renforcée par les crises Afin d’accroître leurs chances de vendre leur inventaire publicitaire en ligne, la quasi-totalité des éditeurs ont augmenté le nombre de leurs relations directes et indirectes depuis 2019. En Moyenne, le nombre de prestataires distincts présents dans les fichiers ads.txt est ainsi passé de 45,3 en 2019 à 78,2 en 2022, soit une hausse de 72 %. Dans le détail, les revendeurs gardent la place la plus importante dans les relations des éditeurs, puisqu’ils comptent en moyenne 59,9 relations indirectes (contre 38,4 en 2019 et 31,6 en 2018) et 46,5 relations directes (contre 23,1 en 2019 et 13,8 en 2018). Comme nous l’avions expliqué dans notre étude de 2019, l'avènement du header bidding a eu un rôle important dans l’augmentation du nombre de partenaires renseignés par les éditeurs français. “Les mécaniques server side permises par Prebid Server sont une vraie commodité pour l’ajout des partenaires publicitaires”, rapporte Julien Gardès, directeur du développement éditeurs EMEA de TripleLift. Plus globalement, le développement du marché programmatique display, passé de 621 millions d’euros en 2019 à 830 millions d’euros en 2021, a favorisé l’émergence de nouveaux prestataires et poussé les éditeurs à s’équiper, selon Eric Schnubel, fondateur du cabinet de conseil Reason Why et ancien DG de l’IAB France. Mais cette tendance est encore accentuée dans un contexte de crises à répétition, les chiffres contrastant avec le discours de rationalisation que tiennent les régies publicitaires depuis quelques années. “Depuis trois ans, malgré une volonté globale du marché de simplification de la chaîne d’achat, le contexte économique a poussé les éditeurs à aller chercher des revenus supplémentaires. On peut imaginer qu’en 2023, le nombre de partenaires publicitaires va à nouveau baisser”, estime Sébastien Noël (M Publicité). Une hausse aussi liée à un meilleur renseignement des fichiers ads.txt par les éditeurs Cette forte augmentation du nombre de partenaires publicitaires renseignés par les éditeurs est aussi liée à une bien meilleure connaissance de leur écosystème programmatique. “En 2019, il y avait encore des interrogations sur la nécessité de remplir le fichier ads.txt et sur le bien fondé de l’initiative”, rappelle Eric Schnubel (Reason Why). De plus, le contexte réglementaire, marqué par l’entrée en application du RGPD, puis des nouvelles recommandations de la Cnil sur les traceurs publicitaires, a poussé les éditeurs à renseigner beaucoup plus scrupuleusement la liste de leurs partenaires à partir de 2019, contribuant aussi à l’inflation des fichiers ads.txt. Les formats, les revenus et l’expérience utilisateur comme critères de choix Le groupe le Monde est d’ailleurs l’un des seuls à avoir stabilisé son nombre de prestataires renseignés, passant de 33 à 32 partenaires directs en trois ans. Cette politique est facilitée par le fait que le programmatique ne représente que 35 % des revenus numériques du groupe, dont une part marginale pour l’open auction. “Nous essayons de n’ajouter des acteurs que s’ils présentent une vraie valeur ajoutée en matière de formats propriétaires. Un SSP générique avec peu de présence en France aura beaucoup moins d’intérêt”, détaille Sébastien Noël (M Publicité). Au-delà du type de formats propriétaires, le choix des partenaires dépend aussi de critères qualitatifs et quantitatifs d’évaluation. “L’idée n’est pas d’empiler les formats. Le fait de débrancher certains acteurs permet d’augmenter le RPM (revenu pour mille), avec des vidéos mieux traitées et davantage de visibilité sur le display, par exemple. Trois critères sont scrutés : le revenu, l’audience, et l’expérience utilisateur”, détaille Grégoire Gaffié, head of programmatic & acquisition de Reworld Media, qui affirme que l’éditeur a une politique de test de partenaires très active. Même constat pour le Groupe Figaro. "Nous avons déjà coupé quelques partenaires dont nous n'étions pas satisfaits, tant sur l’impact UX que sur les revenus. Généralement, les périodes de tests durent quelques semaines", indique Karine Rielland-Mardirossian, la directrice générale déléguée digital de la régie MEDIA.figaro. Ce type d’arbitrage s’avère plus difficile pour les plus petits éditeurs, notamment ceux de la presse quotidienne régionale, chez lesquels la régie n’a pas nécessairement la main sur tous les aspects de la politique commerciale. Les groupes La Provence et Le Télégramme ont ainsi renseigné près de 90 partenaires chacun. “Cela passe par une certaine finesse d’analyse et compréhension du sujet, mais aussi par une maîtrise du wrapper header bidding - parfois opéré par des prestataires. Il faut que la personne chez l’éditeur qui “branche” de nouvelles sources soit chapeautée par un responsable des revenus”, prévient Luc Vignon, directeur général adjoint chargé de la transformation numérique de la régie publicitaire commune de la PQR, 366. “Les indicateurs clés de suivi ne sont pas faciles à maintenir. Il y a une forte pression sur le chiffre d’affaires et le mix de bonne compréhension, de capacité de mise en œuvre et de suivi dans le temps est dur à conserver”, ajoute-t-il. Avec 117 prestataires directs et 96 revendeurs supplémentaires, c’est le Groupe Marie Claire qui a signé le plus de nouveaux contrats, suivi de près par L'Étudiant, qui compte 106 revendeurs et 90 prestataires directs supplémentaires Quatre éditeurs seulement ont réduit le nombre de leurs relations : CCM (moins 37 relations directes et moins 45 revendeurs), Le Monde (moins une relation directe et moins 19 revendeurs), MSN (moins 27 relations directes) et Webedia (une relation directe de moins). Plus de revendeurs que de vendeurs directs Établir le ratio entre le nombre de revendeurs et celui des vendeurs directs a permis de mettre en évidence l’équilibre choisi par chaque éditeur, et au niveau de ses différents sites, entre ces deux types de relations commerciales. Plus de huit éditeurs sur dix ont plus de relations indirectes que de relations directes dans leurs fichiers ads.txt. Le Groupe Cerise (Prisma Media), RTL (Groupe M6), Deezer ou encore Foot Mercato travaillent même avec au moins deux fois plus de revendeurs que de vendeurs directs. A l’opposé, avec un écart moyen de 8,2 relations, 19 éditeurs (sur 114) favorisent les relations directes avec les prestataires publicitaires. C’est notamment le cas de L’Etudiant (121 directes et 118 indirectes), de Condé Nast International (43 directes et 35 indirectes), du Groupe Télégramme (89 directes et 79 indirectes) et d’Eurosport (86 directes et 63 indirectes). Boursorama est le seul à compter le même nombre de relations directes et indirectes (33). Une ouverture au programmatique des sociétés à formats propriétaires Cette tendance à l’intermédiation peut en partie s’expliquer, selon Grégoire Gaffié, (Reworld Media), par l’ouverture au programmatique de certains prestataires originellement concentrés sur un format publicitaire en particulier (par exemple, les sociétés de publicité in-image ayant progressivement basculé vers le contextuel, comme Bliink ou Seedtag). “Il y a un phénomène de rationalisation des partenaires connectés en header bidding, mais sur d’autres formats, les lignes se sont multipliées”, constate-t-il. Seedtag explique ce phénomène par la façon dont sa technologie de ciblage catégorise les inventaires. “Nous garantissons aux annonceurs en direct des impressions publicitaires uniquement dans des contextes positifs. Seulement, si l’on se place du point de vue de l’éditeur, les inventaires sur les contextes jugés “négatifs” (actualités chaudes sur certains sujets, ndlr) par notre moteur d’analyse sémantique, doivent aussi être monétisés”, explique Agnès Fougères, VP Publisher EMEA de Seedtag. La société demande donc aux éditeurs avec qui elle contractualise de renseigner un nombre important de prestataires revendeurs dans leur fichier ads.txt, pour commercialiser en programmatique les inventaires vidéo et display qui n’auraient pas été vendus en direct. Seedtag indique que la proportion d’inventaires commercialisés en open auction est de 30 à 40 %, avec nécessairement une forte saisonnalité. “Auparavant les éditeurs étaient plutôt frileux à l’idée d’ajouter de nouveaux prestataires indirects, mais les politiques se sont assouplies quand ils ont eu la garantie que le meilleur “payeur” remporterait l’enchère à la fin”, ajoute Agnès Fougères (Seedtag). Dans ce contexte, MEDIA.Figaro affirme prêter beaucoup d'attention à la liste de revendeurs à déclarer lorsque la régie contractualise avec un partenaire. "On ne subit jamais la liste, et nous coupons dedans si nous jugeons certains revendeurs peu pertinents. Nous choisissons chaque partenaire pour nous assurer de la manière dont seront utilisées nos marques", explique Karine Rielland-Mardirossian. Pourquoi nous avons découplé la vision éditeur de la vision site par site Pour affiner l’analyse, nous avons étudié individuellement les fichiers ads.txt des sites internet des éditeurs, qui diffèrent parfois. Par exemple, Czech Media Invest France travaille avec 159 SSP et adexchanges sur son site public.fr, contre seulement 117 sur francedimanche.fr. De même, le Groupe Bayard compte 108 relations sur notretemps.com et enfant.com, contre seulement 53 relations sur la-croix.fr. Le Groupe Les Echos - Le Parisien a 199 relations directes ou indirectes sur leparisien.fr contre seulement 94 sur les echos.fr, et Le Groupe M6 travaille avec plus de 70 prestataires différents sur les sites turbo.fr, passeportsante.fr ou encore deco.fr, contre seulement dix sur 6play.fr et deux sur gulli.fr. Méthodologie Début janvier 2022, nous avons récupéré, grâce à un crawler interne se fondant principalement sur la librairie Requests de Python, le contenu des fichiers ads.txt de 92 éditeurs français sur les 114 de notre panel. Ceci nous a permis de construire un tableau de plus de 200 000 lignes listant les différentes relations de vente directe et de revente établies entre les éditeurs français et les prestataires publicitaires. Le tableau contient quatre informations principales : Éditeurs, qui contient le nom des éditeurs du panel, Prestataires, qui contient les noms des prestataires déclarés être en relation avec l’éditeur, Nature de la relation, qui indique si la relation entre le prestataire et l’éditeur est directe ou indirecte, ID, qui contient l’identifiant du compte que le vendeur associe au détenteur du compte (un intermédiaire, par exemple une alliance programmatique ou bien l’éditeur lui-même). Pour affiner l’analyse, et grâce à des bases de données propriétaires sur les éditeurs et les prestataires publicitaires, nous avons qualifié les différents acteurs figurant dans le tableau, par la catégorie, la nationalité et le positionnement sur la chaîne de valeur publicitaire. Si les fichiers ads.txt sont généralement les mêmes sur tous les sites d’un éditeur, il arrive qu’ils diffèrent. Pour faciliter l’analyse par éditeur, nous avons fusionné, pour chacun d’entre eux, les prestataires figurant sur tous les sites de l’éditeur. Pour faciliter la lecture des résultats, nous-nous sommes efforcés d’attribuer les noms de domaines publicitaires contenus dans les fichiers ads.txt aux prestataires (SSP, adexchanges) auxquels ils sont attachés. Par exemple, Amazon en compte cinq: amazon-adsystem.com, amazon.com, aps.amazon.com, c.amazon-adsystem.com et app.amazon.com. Par soucis de clarté, lorsqu’un prestataire a à la fois une relation directe et indirecte (via un revendeur) avec un éditeur, nous comptabilisons une seule relation quand l’analyse porte sur le nombre total de relations d’un acteur, et deux relations, une directe et une indirecte, quand nous analysons la nature des relations établies. Il peut arriver que les éditeurs commettent des erreurs dans la rédaction de leurs fichiers ads.txt. En attribuant par exemple le statut “relation directe” au lieu de “revendeur” à un prestataire. Ou en omettant des prestataires. Cela peut fausser les résultats. Un prestataire peut apparaître comme ayant une relation directe avec un éditeur, même si ce dernier ne fait que le tester. Pour des raisons de temps, nous n’avons pas toujours pu intégrer dans le périmètre d’un éditeur la totalité des sites qu’il opère. Mais nous nous sommes efforcés d’intégrer les plus représentatifs de son activité. La liste des sites crawlés figure dans ce tableau. Quelles informations les fichiers ads.txt contiennent-ils ? Dans leur fichier ads.txt, les éditeurs indiquent aux acheteurs (DSP) les vendeurs (SSP, adexchanges) qu’ils autorisent à vendre leur inventaire publicitaire desktop et web mobile (display, vidéo, native advertising, recommandation de contenu…). Le plus souvent, ce fichier est identique sur tous les sites représentés par la régie, mais il arrive qu’il diffère d’un site à l’autre. Il comprend une ligne pour chaque vendeur et chacune de ces lignes comprend trois champs, plus un en option : Le premier champ contient le nom de domaine publicitaire du vendeur (google.com pour Google par exemple). Le deuxième est l’identifiant du compte que ce vendeur associe au détenteur du compte (un intermédiaire, par exemple un réseau format ou une alliance programmatique, ou bien l’éditeur lui-même). Le troisième indique la nature de la relation entre l’éditeur et le vendeur : “Direct” ou “Reseller”. “Direct” signifie que l’éditeur et le vendeur ont noué un contrat commercial, et que l’éditeur contrôle lui-même le compte indiqué dans le deuxième champ ; “Reseller” signifie que l’éditeur a autorisé un acteur tiers (une alliance programmatique, comme Audience Square ou La Place Media, ou un network format, comme Advideum, Adikteev ou Mobvalue par exemple) à contrôler son compte, et à vendre son inventaire publicitaire via le vendeur (généralement un SSP) dont le nom figure dans le premier champ. Le quatrième champ, optionnel, permet d’ajouter l’identifiant d’une autorité de certification, généralement celui du Trustworthy Accountability Group (TAG), organisme américain qui certifie les sociétés contre la fraude publicitaire. Consultez nos précédentes enquêtes sur ce sujet : 2019 : (1/3) Les éditeurs français ont encore augmenté le nombre de leurs vendeurs et revendeurs programmatiques (2/3) 250 SSP et adexchanges ont accès à l’inventaire d’au moins un éditeur français (3/3) Qui sont les prestataires qui figurent dans le fichier des éditeurs américains et européens ? 2018 : (1/3) Les éditeurs français confient leur inventaire à 27 SSP et adexchanges en moyenne (2/3) Huit SSP et adexchanges travaillent en direct avec plus de la moitié des éditeurs et e-commerçants français (3/3) Qui sont les prestataires qui figurent dans les fichiers des éditeurs américains et européens ? 2017 : Relations régies – prestataires (1/2) : ce que révèlent les fichiers ads.txt du marché des SSPRelations régies – prestataires (2/2) : les fichiers ads.txt témoignent de la dépendance des éditeurs aux sous-régies Sara Chaouki et Paul Roy avec Aymeric Marolleau AdtechDSPSSPTransparence Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind À lire La liste des sociétés présentes dans les fichiers ads.txt des éditeurs français Dossiers Sellers.json (1/3) : Quels SSP ont le chemin le plus direct vers les éditeurs ? 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