La salariée licenciée avait invoqué la nullité de son licenciement au motif que cette décision portait atteinte à ses droits fondamentaux. Le Tribunal suprême de Madrid avait donné raison à la plaignante et considéré qu'une fois reconnu le droit à la santé dans la Constitution, « tout acte d’exercice de ce droit, comme celui de récupérer son intégrité corporelle [sous entendu, en bénéficiant d’un arrêt maladie, ndlr] ne peut pas engendrer un préjudice ». En d'autres termes, le salarié « ne peut souffrir un acte de représailles de la part de son employeur ». Dès lors, le licenciement « qui porte atteinte au droit à la vie et à l'intégrité physique » doit être considéré comme nul.
reconnu le droit à la santé dans la Constitution, « tout acte d’exercice de ce droit, comme celui de récupérer son intégrité corporelle [sous entendu, en bénéficiant d’un arrêt maladie, ndlr] ne peut pas engendrer un préjudice ». En d’autres termes, le salarié « ne peut souffrir un acte de représailles de la part de son employeur ». Dès lors, le licenciement « qui porte atteinte au droit à la vie et à l’intégrité physique » doit être considéré comme nul.
Le droit de protéger sa santé n’est
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