t avec un encadrement social maximum et de fortes perspectives d’avenir pour les salariés touchés », a-t-il déclaré. L’accord qui a été présenté ne concerne que la suppression de postes en Allemagnes. Soit environ 6 000 sur les 11 000 postes qu’ EON, qui emploie 80 000 personnes, compte supprimer. Pour les syndicats, l’un des points essentiels est que ce plan devrait permettre d’éviter tout licenciement. Le coût du plan de restructuration d’EON, intitulé « EON 2.0 », est évalué à près de 1 mill
…Allemagne : accord pour un plan de suppression d’emplois sans licenciements chez EON
Pas de licenciements. Démarrées en novembre 2011, les difficiles négociations sur le plan social qui doit accompagner les milliers de suppressions d’emplois annoncées par EON ont finalement abouti mardi 24 janvier. Ehrard Ott, membre de la direction du syndicat des services Verdi, qui négociait aux côtés du syndicat de la chimie et de l’énergie IG BCE, s’est déclaré satisfait du résultat : « Les suppressions d’emplois se feront avec un encadrement social maximum et de fortes perspectives d’avenir pour les salariés touchés », a-t-il déclaré. L’accord qui a été présenté ne concerne que la suppression de postes en Allemagnes. Soit environ 6 000 sur les 11 000 postes qu’ EON, qui emploie 80 000 personnes, compte supprimer. Pour les syndicats, l’un des points essentiels est que ce plan devrait permettre d’éviter tout licenciement. Le coût du plan de restructuration d’EON, intitulé « EON 2.0 », est évalué à près de 1 milliard d’euros. Il comprend le plan social mais aussi l’intégration des filiales Ruhrgas et EON Energie.
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