“Trop, c’est trop!” C’est la réaction des syndicats et des salariés en général à l’annonce du projet de loi budgétaire 2015 qui envisageait d’augmenter la taxe sur les avantages sociaux. Mais ce sujet de mécontentement n’est qu’un parmi d’autres alors que le dialogue social est au point mort.
Une mesure de trop. Les syndicats ont été désemparés face à la dernière décision du gouvernement de Victor Orban d’intégrer dans le projet de loi budgétaire 2015 une augmentation de la taxe sur les avantages sociaux qui passerait de 35,7% à 51,17% sur certains seuils et sur certains sujets, d’autant qu’ils en ont été informés par voie de presse. Ces avantages sociaux se traduisent par l’octroi de chèques ou de cartes ou de bons (par exemple, les Erzsébet-utalvány ou SZÉP-kártya) facilitant le p
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