Uber, Deliveroo ou encore Amazon : la commission parlementaire sur le travail et les retraites (Work and Pensions Committee) a estimé, le 6 avril, que les contrats des travailleurs indépendants de la gig economy étaient "incompréhensibles", plongeant une nouvelle fois l'économie ubérisée dans la tourmente. Selon ces parlementaires - dont l'enquête est encore en cours - des clauses empêchent par ailleurs la plupart de ces travailleurs de remettre en cause leur statut.
« Sincèrement, le contrat d’Uber, c’est du charabia» : voilà comment Frank Field, président du Work and Pensions Committee, a relancé jeudi le débat brûlant sur la gig economy. Une attaque de plus prouvant que le vent est en train de tourner pour l’économie ubérisée, basée sur l’emploi à la tâche de 1,3 million de travailleurs indépendants britanniques via des plateformes virtuelles. « Ces compagnies se vantent de la flexibilité qu’offre leur modèle mais il semble que seules ces entreprises pr
…Vous avez une information à nous partager ?