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Accueil > Services bancaires > Clients des banques en ligne et des néobanques : BoursoBank continue de creuser l’écart avec ses concurrentes

Clients des banques en ligne et des néobanques : BoursoBank continue de creuser l’écart avec ses concurrentes

Pour la sixième année consécutive, mind Fintech fait le point sur le développement des banques en ligne, challengers et néobanques en France. Alors qu’Orange Bank et Ma French Bank s’apprêtent à quitter ce marché, BoursoBank, Nickel et Revolut conservent une forte dynamique.

Par Aymeric Marolleau avec Rudy Degardin, Antoine Duroyon, Aude Fredouelle et Caroline Soutarson. Publié le 21 mars 2024 à 6h00 - Mis à jour le 28 mai 2024 à 17h39
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Série

Cet article est le premier d’une série consacrée aux banques en ligne et néobanques comparant le nombre de leurs clients en France et dans le monde, ainsi que leurs offres :

1- Quelles banques ont gagné le plus de clients en 2023 ? 

2- Comment les banques en ligne et néobanques ont-elles fait évoluer leurs offres en 2023 ?

Plus d’une vingtaine de banques en ligne et néobanques espèrent convaincre les consommateurs français d’ouvrir un compte sur leurs services. Pour se faire une idée des forces en présence et de leurs stratégies d’acquisition, mind Fintech les a interrogées, pour la sixième année consécutive, sur leurs chiffres au 31 décembre 2023 (voir la méthodologie en fin d’article).

Le classement des banques en ligne et néobanques qui ont le plus de clients en France

Des chiffres difficiles à obtenir

Tous les acteurs sollicités n’ont pas partagé avec nous le nombre de leurs chiffres les plus récents pour la France. C’est notamment le cas de N26, pour lequel nous avons retenu une estimation de 2,9 millions de clients en France. En effet, N26 a indiqué à mind Fintech avoir “près de 3 millions” de clients en France, après avoir communiqué sur “plus de 2,5 millions” depuis fin 2021. Nous devons nous contenter d’une estimation à 2,7 millions pour fin 2022.

Le nombre de clients de Fortuneo en France est une estimation fondée sur un ratio historique de ses clients à l’international et dans l’Hexagone. À l’international, le chiffre de 1,05 million de clients en Europe nous a été confirmé récemment. 

Orange ne publiera ses résultats qu’en mai 2024, il faudra donc attendre pour connaître les chiffres d’Orange Bank (478 000 clients fin 2022). AXA Banque (600 000 clients fin 2021, mais dont certains ne détenaient que des produits d’épargne) indique désormais être plutôt tournée vers les clients assurés chez AXA et ses salariés que vers le grand public.

Monabanq, la banque en ligne du groupe Crédit Mutuel – CIC, ne communique plus ses chiffres depuis 2015. Elle assurait alors avoir 290 000 clients. En décembre 2023, sa maison mère a tout de même indiqué que la banque en ligne comptait 180 000 clients actifs (qui réalisent plusieurs opérations par mois), contre 100 000 il y a quatre ans. 

Après avoir proposé un service de paiement mobile, puis s’être positionnée en application “métabancaire” (agrégation de comptes et carte de paiement agrégatrice) en mars 2018, et en super app en 2019, Lydia a réalisé un nouveau pivot en 2023, pour devenir la “néobanque au quotidien” de ses clients. Elle revendiquait 7,3 millions d’utilisateurs en mars 2023, mais tous ne sont pas détenteurs d’un compte courant avec carte physique ou virtuelle. Les chiffres les plus récents datent de décembre 2021, lorsqu’à l’occasion d’une levée de fonds Lydia assurait que sur une base de 5,5 millions d’utilisateurs, près d’un million utilisaient la néobanque comme compte principal (contre 400 000 à 500 000 en septembre 2021), et deux millions ses services bancaires (comptes courants, joints, de crédit, d’épargne et d’investissement).

Notre étude souligne que l’écart continue de se creuser entre un quatuor de tête multi-millionnaire en clients, composé d’acteurs engagés dans une stratégie de conquête rapide, appuyée par d’importantes dépenses marketing, parfois à l’aide de généreuses primes à l’ouverture de comptes, et les autres. 

BoursoBank, qui a changé de nom à l’automne 2023, a ainsi convaincu 1,4 million de nouveaux clients l’année dernière, pour un gain net de 1,15 million, et totalisait 5,85 millions d’utilisateurs fin 2023 (+24 % en un an). Pourtant, afin de démontrer la viabilité de son modèle et atteindre la rentabilité, la filiale de la Société Générale a volontairement limité ses coûts d’acquisition au second trimestre, ce qui s’est traduit par le recrutement de “seulement” 129 000 clients, contre 300 000 au premier, et un bénéfice net de 47 millions d’euros. Elle a repris sa marche en avant dès le trimestre suivant, avec 412 000 clients conquis entre début juillet et fin septembre. En octobre, la banque en ligne offrait par exemple 100 euros pour toute ouverture de compte, et 150 euros en février 2024. 

Car si un objectif de rentabilité avait été initialement fixé pour 2024, une nouvelle trajectoire a été annoncée par la nouvelle direction du groupe Société Générale le 18 septembre. Elle voit encore plus grand : plus de 8 millions de clients d’ici début 2026, et plus de 300 millions d’euros de résultat net à cet horizon. D’ici là, pendant cette période de forte acquisition, le groupe accepte que BoursoBank ne soit pas rentable, avec un objectif de résultat brut d’exploitation de 150 millions d’euros sur une période de trois ans.

Les ressorts de la croissance de BoursoBank

BoursoBank est passé d’un peu plus de 1,5 million de clients en 2018 à près de 6 millions fin 2023. À quoi attribuer cette progression ? “D’abord à la qualité de notre offre, aussi bien en complétude qu’en tarif, explique le directeur marketing et communication de BoursoBank, Xavier Prin. Ce qui fait qu’un client change de banque, ce sont les économies qu’il espère en tirer, et qu’il trouve une réponse à ses besoins. Les tarifs bancaires annuels des Français s’élèvent en moyenne à 220 euros, alors que les nôtres sont inférieurs à 10 euros. Les études nous désignent comme la banque la moins chère depuis 16 ans. De plus, nous avons vocation à être la banque principale de nos clients – c’est déjà le cas pour un sur deux -, donc notre offre est large (comptes épargne, bourse, assurance vie…), avec toujours cette promesse tenue de prix bas”. 

La filiale de la Société Générale mise aussi sur des campagnes de notoriété sur les canaux TV, affichage, presse et numérique. Dans des campagnes signées par l’agence Buzzman et déployées par les agences média Vizeum puis iProspect (dentsu), elle s’est ainsi appuyée sur l’image de Brad Pitt en 2019, Myke Tyson en 2021 et Jean Dujardin en 2022. 
La banque en ligne investit également dans la publicité à la performance, où l’annonceur paie aux clics et aux conversions, essentiellement sur le numérique (search, affiliation…), pour optimiser le coût d’acquisition de ses clients. Elle dispose de son propre trading desk interne, pour gérer elle-même ses achats d’espaces publicitaires en ligne, et d’une customer data platform (CDP), pour collecter les données de ses clients et automatiser les communications auprès d’eux (bannières sites, application, SMS, push notification, emails…), selon des scénarios écrits. Il s’agit de “les engager progressivement sur l’ensemble de notre gamme de produits et services”, souligne Xavier Prin.

Comment les banques en ligne se battent pour atteindre l’équilibre

Nickel a connu la même croissance (+24 %), gagnant 700 000 clients l’année dernière, pour atteindre le total de 3,6 millions. Surtout, Nickel se targue de statistiques qu’envieraient les autres challengers et banques : deux tiers de ses clients utilisent le service comme compte principal. “Ils y logent leurs revenus et effectuent leurs dépenses par ce biais”, précise Thomas Courtois, président de la néobanque. Par comparaison, BoursoBank évoque plutôt une proportion de 50 %. Selon Marie Degrand-Guillaud, directrice générale de Nickel, un tiers de la base de clients sont des profils “en difficulté avec la banque”, un tiers choisissent Nickel pour payer moins cher, et un tiers l’utilisent comme compte secondaire, pour des achats en ligne ou à l’étranger, par exemple.

Bouche-à-oreille, média et points de vente : les trois piliers de la conquête clients de Nickel

Nickel, qui s’est lancé en 2014 sous le nom Compte-Nickel et a été racheté par BNP Paribas en 2017, s’est d’abord essentiellement développé grâce à son réseau de distribution et au bouche à oreille. “Nos clients sont très prescripteurs, car le taux de satisfaction est de 97 % et notre net promoter score (NPS) est de 55, alors qu’il est plutôt aux alentours de 30 pour les banques digitales. Cela fait du bouche à oreille notre premier canal d’acquisition”, assure Philippe Serre, responsable du marketing et de la marque chez Nickel. 

Car pour accélérer sa croissance, la filiale de BNP Paribas a décidé, à partir de 2020, d’augmenter sa présence dans les médias. Une première campagne de publicité a été diffusée à la télévision et en affichage extérieur à la fin de l’hiver 2020. Cette campagne a été conçue par l’agence Royalties et activée par l’agence d’achat média Heroïks. Nickel est ainsi passé d’un peu plus d’un million de clients fin 2018 à 3,6 millions fin 2023.

Les points de vente, avec un maillage de 7 500 buralistes sur le territoire, représentent son troisième canal d’acquisition. “C’est une grande force pour nous, notamment en termes de publicité sur le point de vente, car ce complément de couverture nous permet de toucher un public qu’on ne capte pas en média ou en répétition”, précise le head of marketing and brand. Tous les buralistes ont reçu un agrément ACPR au terme d’une formation. Ils reçoivent une commission lors de la vente d’un coffret (1,25 euro sur 25 euros), d’un dépôt d’espèce (sur les 3 % prélevés sur le montant, 1,13 % revient au buraliste), d’un retrait (trois retraits gratuits par mois, 50 centimes à partir du quatrième, dont 25 centimes vont au buraliste) et de l’édition d’un RIB (50 centimes sur 1 euro).

Pour accompagner son développement international, la néobanque a adopté une organisation en cinq “tribus”, qui agrègent toutes les compétences en termes de marketing, de conformité, développement… “Il y en a une pour chacun des principaux points d’attention de l’entreprise”, explique Philippe Serre : vie en point de vente, paiement, diversification (crédit, assurance, épargne), expérience client et acquisition. Cette dernière “concerne tout ce qui a trait à la gestion du média, jusqu’à la fin de l’onboarding”.

Lire aussi : Nickel se tourne vers l’Europe pour tirer sa croissance

Selon nos estimations (voir encadré), N26 avait environ 2,9 millions de clients en France fin 2023 et 2,7 millions fin 2022. Pour rappel, la BaFin oblige depuis novembre 2021 la société allemande à limiter l’acquisition de nouveaux clients à 50 000 par mois sur ses 24 marchés, estimant qu’elle ne contrôle pas suffisamment ses utilisateurs pour éviter le blanchiment d’argent et la fraude en ligne. Cette mesure a été prolongée en mars 2023. La BaFin a légèrement relevé le seuil à 60 000 clients par mois fin 2023, a rapporté le Financial Times.

Pour tenter de devenir la banque principale de ses clients, la société a annoncé l’été dernier le lancement des IBAN français, un service de mobilité bancaire, un compte rémunéré ou encore l’investissement en cryptoactifs.

Au rythme où il progresse dans l’Hexagone (+39 % de clients l’année dernière, à 2,5 millions), son concurrent Revolut devrait bientôt dépasser N26. À titre d’exemple, il a beaucoup augmenté ses dépenses de développement dans le monde en 2022 (les comptes 2023 n’ont pas encore été publiés) : la ligne “autres dépenses opérationnelles”, qui inclut notamment le marketing, est passée de 77 millions d’euros en 2021 à 336,5 millions en 2022. Cette année-là, son chiffre d’affaires a atteint 1 milliard d’euros (+45 %) et son résultat net 6,7 millions (-78 %).

Hormis ces quatre-là, les évolutions sont moins visibles. Même pour BforBank, qui a ordonné de grands investissements pour développer sa marque et vise 3 millions de clients d’ici 2030, dont un million hors des frontières (Allemagne, Italie, Espagne et Portugal). Le Crédit Agricole avait en effet annoncé en juin 2022 vouloir investir 450 millions d’euros sur cinq ans dans sa filiale. Cela a commencé en septembre dernier avec l’annonce d’une nouvelle stratégie de “banque digitale relationnelle” et le lancement de deux nouvelles offres (voir la deuxième partie de ce dossier). Les résultats sont pour l’instant modestes, avec 15 000 nouveaux clients l’année dernière (+7 %), à 225 000. Quant à la nouvelle application mobile bancaire, lancée mi-2023, elle n’a pour l’instant pas convaincu les clients : fin 2023, la moyenne de sa note sur iOS et Android était de 3,7 points, contre 4,3 fin 2022 pour l’ancienne version (baisse de -0,6 point).

Les fonctionnalités et les notes des applis mobiles bancaires

Hello Bank! a connu la même progression (+7 %), à 813 000 clients, mais son rythme devrait s’accélérer en 2024, puisque BNP Paribas a trouvé un accord en juin 2023 avec Orange pour faciliter le transfert des clients d’Orange Bank (478 000 comptes bancaires en France fin 2022), avec une offre, un parcours et des conditions d’accompagnement dédiés. Les clients d’Orange Bank percevront par exemple 80 euros à l’ouverture d’un compte bancaire. Un montant équivalent à l’offre actuelle de parrainage chez BoursoBank ou supérieure à celle de base de Fortuneo (50 euros). Les incitations au transfert de compte dureront jusqu’à l’été 2024. Pour rappel, en 2022, Boursorama était parvenu à convertir 50 % des 500 000 clients d’ING Direct.

Demeure un flou sur l’avenir des 750 000 clients de Ma French Bank (+25 % sur l’année). La Banque Postale a en effet annoncé en décembre dernier étudier “un projet de cessation des activités” de sa filiale, qui a perdu 60 millions d’euros en 2022. Pour l’instant, le groupe bancaire indique que le processus de cessation devrait prendre entre 12 et 18 mois et que les clients auront la possibilité d’ouvrir un compte au sein de la Banque Postale. Le projet de cessation d’activité a impliqué une augmentation des charges de 107 millions d’euros à La Banque Postale en 2023 en raison des coûts de restructuration et de la dépréciation des actifs de Ma French Bank.

Même si les chiffres précis ne sont pas certains, Fortuneo aurait toujours un peu plus d’1 million de clients en Europe - tous ne sont pas détenteurs d’un compte courant -, dont environ 600 000 en France. “Le volume de clients n’est pas un objectif unique ou un but en soi, même si nous enregistrons une croissance à deux chiffres sur ce critère. Nous faisons attention à recruter des clients qui s’engagent, et cela a des répercussions sur différents leviers”, expliquait récemment à mind Fintech Gregory Guermonprez, directeur de la seule banque en ligne française rentable (27,4 millions d’euros de résultat net en 2022). Plus de 50 % de ses clients l’utilisent comme compte principal.

Au total, les neuf banques de notre panel cumulent plus de 17 millions de clients fin 2023, contre environ 7 millions en 2018 (x2,4) pour une quinzaine d’acteurs. Depuis notre premier dossier, Aumax pour moi, Pumpkin, C-Zam et ING ont quitté le marché. Orange Bank et Ma French Bank devraient bientôt faire de même. Pour comparaison, l’ACPR rappelait dans une étude publiée en 2022 que le total du nombre de comptes de détail auprès des six grands groupes bancaires français était de 74 millions début 2020.

Revolut a gagné 8 millions de clients à l’international

Parmi les acteurs présents en France, Revolut et N26 sont ceux qui comptent le plus grand nombre de clients à l'international, respectivement 35 millions (+8 millions en un an) et 8 millions (stable) à fin 2023. En mars 2024, Revolut a communiqué sur un total de 40 millions de clients à l’international et 3 millions en France. 

Le challenger britannique attend toujours une licence bancaire dans son pays d’origine, où il revendique 8 millions de clients, soit 12 % de la population. En janvier, Antoine Le Nel, qui supervise la croissance de Revolut, indiquait aux Échos que “le Royaume-Uni représente encore 25 à 35 %” de son activité. 

L’Allemagne est le premier marché de N26, qui n’y précise pas le nombre de ses clients, mais il y avoisinerait les 3,5 millions. Il est aussi présent en France, où il compte donc “près de 3 millions de clients”, en Espagne (plus d’un million) et en Italie (un peu moins d’un million). En novembre, le challenger allemand a annoncé la fermeture de ses activités au Brésil, après s’être déjà retiré du Royaume-Uni en février 2020 et des États-Unis en novembre 2021.

La présence de Nickel hors de France est encore timide. Bien que la néobanque se soit lancée en Espagne mi-2020, au Portugal et en Belgique en 2022, puis en Allemagne à l’été 2023, elle n’a qu’un peu plus de 100 000 clients de l’autre côté des Pyrénées - loin des 700 000 visés d’ici 2024 au moment de son lancement - et quelques dizaines de milliers dans les trois autres pays. En Allemagne, où elle commercialise un compte avec un IBAN allemand et une carte Mastercard sans conditions de revenus, la filiale de BNP Paribas souhaite conquérir 600 000 clients en cinq ans. Mais la dynamique semble positive, puisque 15 % des comptes ouverts par Nickel actuellement le sont à l’étranger. “C’est pour nous un gros relais de croissance, indiquait en février à l’occasion d’une conférence de presse Marie Degrand-Guillaud, actuelle directrice générale. Nous étudions différents marchés pour trouver des partenaires de distribution et nous prendrons les décisions au fil de l’eau dans les deux prochaines années.” Sur les 800 collaborateurs de Nickel, 140 sont employés hors des frontières, dont une soixantaine en Espagne.

Méthodologie

Début 2024, nous avons interrogé 20 néobanques, challengers et banques en ligne actives en France afin, notamment, de connaître le nombre de clients à leurs offres de compte de paiement avec carte bancaire, physique ou virtuelle, au 31 décembre 2023.

Retrouvez toutes les données dans notre espace Data.

Pour rappel, nous utilisons le terme de néobanque pour qualifier des acteurs qui ne disposent pas d’une licence bancaire, et ceux de challenger et de banque en ligne pour désigner des nouveaux entrants et acteurs historiques pleinement régulés.

Tous les acteurs n'ont pas partagé avec nous le nombre de leurs clients en France et à l'étranger. Nous nous sommes donc parfois appuyés sur des chiffres publics, qui ne sont pas nécessairement datés du 31 décembre 2023.

Depuis 2020, Orange Bank ne communique que le nombre de ses clients détenant un produit bancaire (compte courant ou crédit à la consommation). Concernant Nickel, sa maison mère BNP Paribas ne communique que sur le nombre de comptes créés depuis la création de la néobanque. Les chiffres de Fortuneo ont été partagés par sa maison mère à l’été 2022. À partir des chiffres officiels dont nous disposons pour elle, nous avons réalisé une estimation pour les années 2019, 2020 et 2021, fondée sur un ratio comparant le nombre de ses clients en France et en Europe. 

Bien que nous leur ayons explicitement demandé le nombre de leurs clients à des offres de compte de paiement ou compte à vue avec carte bancaire, d’autres banques nous ont peut-être communiqué des chiffres incluant des clients n’ayant chez elles que des livrets d’épargne, de l’assurance vie ou du crédit à la consommation. Cela limite la comparabilité des chiffres.

Pour toute remarque ou question, contactez-nous : datalab@mind.eu.com

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