» s’est alarmée Maureen Kearney, sa secrétaire, «notre crédibilité mondiale est en jeu ». Les représentants craignent que si une décision de l’Etat français, principal actionnaire, n’est pas rapidement prise, les salariés en subissent les conséquences. Les réductions de coûts se font déjà sentir en Allemagne, a indiqué un membre du comité européen d’Areva ce même jour.
Options. Le fleuron de l’industrie française fait face à un besoin pressant de cash. Sa dette nette est estimée à 5,15 milliard
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