Le temps de travail (et subséquemment le salaire) pourra être réduit de 25 %, 50 % ou 70 % pour une période de 3 mois, ou bien le contrat pourra être « suspendu », pour 60 jours maximum. L’assurance-chômage pourra alors prendre en charge une partie de la perte de salaire. Le montant de l’indemnisation sera calculé au pourcentage des droits que l’assuré toucherait en cas de licenciement.
Contreparties et conditions. En contrepartie, les entreprises qui auront recours à cette aide publique...