«Les entreprises ont d’innombrables possibilités de développer des nouvelles variantes des nanoparticules, et c'est une tâche herculéenne que de tester les effets sur la santé de chacune. Or, vu que les nanoparticules du même matériau peuvent avoir des effets très différents sur la santé, nous essayerons de trouver les propriétés physiques et chimiques qui caractérisent celles ayant des effets sur notre santé. L'objectif est d'utiliser ces propriétés spécifiques pour estimer le risque des nanoparticules plutôt que de mener des études globales et à long terme sur chaque nouvelle particule » a expliqué la directrice du nouveau Centre danois pour la Nanosécurité, la professeure Ulla Vogel, de l'Institut national de recherche sur l’environnement du travail (Det Nationale Forskningscenter for Arbejdsmiljø, NFA). Le but est aussi de permettre aux autorités et aux partenaires sociaux de mieux évaluer des risques, en leur fournissant « une meilleure base pour la réglementation de l’utilisation et la manipulation des nanoparticules en milieu de travail, sans affecter la santé des salariés » a-t-elle précisé. Issu de l’accord sur la stratégie pour l’environnement du travail 2020 (v. dépêche n° 110191), le centre est doté d’un budget de 30 millions de couronnes (4 033 283 euros) par le fonds de recherche sur l’environnement du travail, l’Arbejdsmiljøforskningsfonden, pour la période du 1er mai 2012 au 30 avril 2015.
Publication
7 mai 2012 à 07h17
Mis à jour le 25 mars 2013 à 12h00
Temps de lecture
2 minutes
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7 mai 2012 à 07h17, Mis à jour le 25 mars 2013 à 12h00
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de l’accord sur la stratégie pour l’environnement du travail 2020 (v. dépêche n° 110191), le centre est doté d’un budget de 30 millions de couronnes (4 033 283 euros) par le fonds de recherche sur l’environnement du travail, l’Arbejdsmiljøforskningsfonden, pour la période du 1er mai 2012 au 30 avril 2015.
Les domaines de recherche. Le centre étudiera notamment les effets de l’exposition aux nanoparticules attendus en milieu de travail en ce qui concerne les maladies respiratoires aiguës, le ca
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