Un jugement à contre-courant de la jurisprudence. Le jugement prononcé par le Tribunal constitutionnel va à l’encontre de la ligne défendue jusqu’ici par les tribunaux espagnols pour qui les entreprises peuvent surveiller les courriers échangés par leurs salariés à condition de les avoir expressément averti, au préalable et par circulaire, qu’ils pouvaient être soumis à des contrôles et que l’usage du courrier électronique était réservé à des fins professionnelles.
La convention collective,...