Les deux leaders syndicaux ont rendu le gouvernement responsable de la grève « pour sa manière d’agir et pour son imprudence », en présentant la réforme sans en avoir débattu avec les syndicats (v. pour en savoir plus sur la réforme, lire les dépêches n°120100 et 120125). Pour M. Toxo, « les décisions gouvernementales ont rendu la grève inévitable », en réponse à « la réforme du travail la plus régressive de l’histoire de la démocratie en Espagne ». « Il n’y pas de précédent dans l’histoire de ce pays d’un changement si brutal, qui nous emmène en terrain inconnu », a ajouté M.Méndez.
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Les deux syndicats ont pris leur temps avant d’appeler à la grève, espérant pouvoir trouver des voix de négociations pour assouplir le texte. Ils avaient...
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