Après un long parcours parlementaire, le projet de loi sur le travail du gouvernement Meloni – conçu à l’origine comme un texte annexe à la loi de finances 2023 - a été adopté le 9 octobre par la Chambre des députés. Dans cet ensemble hétérogène de mesures, visant essentiellement à simplifier et assouplir certaines normes, un point a fait débat : celui visant à considérer les absences injustifiées comme une démission. Le projet de loi passe maintenant au Sénat.
La réforme dite Calderone (du nom de la ministre du Travail) comprend un ensemble de mesures visant à rendre le marché du travail plus flexible et à simplifier certaines normes, sans impacter en profondeur le droit du travail. Le texte, qui a déjà suscité les protestations de l’opposition et des syndicats CGIL et UIL, doit maintenant être approuvé par le Sénat, puis retourner à la Chambre des députés en dernière lecture.
Absence injustifiée = démission
Il s’agit d’un des points les plus contesté
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Auteur.e.s de l’article
Hélène Martinelli
Pigiste