Après une journée marquée par la contestation le 8 octobre, Matteo Renzi a obtenu le vote de confiance au Sénat sur le projet de loi d'habilitation de l’exécutif à réformer en profondeur le droit du travail italien. La veille, le premier ministre avait rencontré les syndicats. Si la Cisl et l’Uil se sont montrés plus conciliants, la CGIL a maintenu la mobilisation contre la réforme gouvernementale.
« Ils peuvent contester, mais la vérité vraie, c’est que nous sommes en train de changer ce pays », a déclaré à la presse Matteo Renzi en commentant les contestations qui ont lieu hier, le 8 octobre, au Sénat. Et en effet, si cris, pancartes, lancement des monnaies vers les bancs du gouvernement, ont empêché le ministre de Travail, Giuliano Poletti, de terminer son discours, ils n’ont pas empêché le vote de confiance qui s’est conclu à une heure de ce matin, le 9 octobre, avec 165 votes en fave
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