Le thème de la mobilité des apprentis en Europe se trouvait au cœur de la Journée franco-allemande, organisée le 22 janvier à Berlin par l’Ambassade de France en Allemagne avec la participation de représentants de haut rang issus du monde politique, de l’enseignement, de l’industrie, des patronats et des syndicats des deux pays. Tous les participants ont souligné l’importance de renforcer la mobilité des apprentis en Europe, à l’exemple de celle déjà pratiquée par les étudiants, évoqué les freins à cette mobilité et esquissé des solutions. A cette occasion, Marianne Thyssen, commissaire européenne en charge de l’emploi et des affaires sociales a réitéré les objectifs du nouveau programme ErasmusPro : permettre à environ 50 000 apprentis de participer à des stages dans un autre Etat membre d’au moins trois mois dans les trois prochaines années.
Le thème des échanges des jeunes se trouvait au cœur de la déclaration commune diffusée dimanche 21 janvier sur les réseaux sociaux par le président français et la chancelière allemande pour marquer le 55e anniversaire du traité de l’Elysée. Pourquoi cet engouement ? « Un bon apprentissage constitue la protection la plus efficace contre le chômage. Et en ces temps de mondialisation, cela suppose de regarder au-delà de son propre horizon », a expliqué la ministre allemande de l’Emploi, rappelant
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