Redonner de l’enthousiasme au citoyen européen : c’est autour de la rhétorique du renouveau et du nouvel élan que Matteo Renzi place la Présidence italienne de l’UE qui démarre pour ce 2e semestre 2014. Son objectif prioritaire est de donner plus de poids au volet croissance du Pacte de stabilité.
Donner des marges de manœuvre aux États car sans croissance, pas de réduction des déficits. C’est le message que le président du Conseil italien a porté lors du Conseil européen des 26 et 27 juin derniers (v. dépêche n°8497). Face à une chancelière allemande ne jurant que par le respect des règles du Pacte de stabilité et de croissance*, Matteo Renzi défend l’idée que « l’on respecte les règles du Pacte uniquement si on met en œuvre son volet croissance », volet qui au demeurant reste à détermi
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