« La relocalisation reste un épiphénomène, on ne la voit pas sur le terrain, et ceci pour plusieurs raisons. D’abord il y a le coût de la main d’œuvre. Le textile, c’est un métier manuel, il faut des petites mains pour faire tourner les machines à coudre, il n’y a pas d’automatisation. Ensuite, il y a un enjeu de capacité de production.
Pour vous donner un ordre de grandeur, il y a au Vietnam 11 millions de personnes travaillant dans les usines, contre 110 millions en Chine. Cela veut dire...