Avec ces 580 000 salariés, le secteur de la chimie et de l’énergie est le premier gros secteur à négocier avec un taux d’inflation de 3,1 % et une estimation de la Bundesbank qui pourrait aller jusqu’à 4 % en 2022. Le syndicat n’a pas cité de chiffre mais son vice-président Ralf Sikorski a tout de même précisé qu’au bout du compte il est « hors de question que les salaires et les allocations de formation ne soient pas supérieurs au taux d’inflation ». Pour lui, rien d’impossible : « Les carnets
…Allemagne : la chimie réclame des augmentations salariales supérieures à 3,1 %
Le syndicat IG BCE (chimie / énergie / BTP) a dévoilé le 22 février le niveau de ses revendications pour les négociations collectives dont les préliminaires régionaux commenceront le 2 mars dans le district de Hesse, avant de passer au niveau national le 21 mars prochain à Hanovre. Après la pandémie, le haut niveau d’inflation domine à son tour la discussion, la crainte des entreprises étant qu’il entraîne de trop fortes exigences sur les salaires.
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