Venu présenter le 4 mai 2009 son plan de reprise d'Opel, filiale de l'américain General Motors, au ministre allemand de l'Economie Karl-Theodor zu Guttenberg, Sergio Marchionne, patron de Fiat, a également rencontré dans la foulée le président du CE central d'Opel Klaus Franz pour tenter de rassurer les salariés allemands. Mais sans succès. Les représentants des salariés d'Opel continuent à juger d'un oeil très critique une éventuelle reprise de leur entreprise par Fiat, qui risque, selon eux, de se traduire par la suppression de milliers de postes et la fermeture de sites. (Réf. 090485)
Après la reprise réussie de l’américain Chrysler, le patron de Fiat souhaite à présent reprendre le constructeur automobile allemand Opel et créer un nouveau géant mondial générant des revenus d’environ 80 milliards d’euros et des ventes de 6 à 7 millions de véhicules par an. Né au Canada, cet Italien de 57 ans est en effet persuadé que seules les entreprises capables de produire environ 6 millions de voitures par an seront capables à terme de survivre sur le marché mondial de l’automobile. Or
…Vous lisez cet article grâce à votre abonnement.
Explorez de nouveaux horizons en consultant nos autres verticales :
Vous avez une information à nous partager ?