Si l’on en croit le score effectué lundi dernier par Alexander Kirchner, qui a recueilli de 96,3 % des voix des délégués de Transnet, il est vraiment, comme le dit l’un de ses collègues, le « président du cœur ». A 52 ans, il succède à Lothar Krauss, pâle président pendant seulement six mois. Jusqu’à présent, M. Kirchner était vice-président du premier syndicat des chemins de fer. Il est aussi l’un des spécialistes de Transnet pour les négociations collectives. Il aura donc d’emblée du pain sur la planche. Car les négociations collectives qui s’annoncent très serrées en janvier 2009 (v. dépêche n° 080916) ne sont qu’un des chantiers du nouveau président. Celui-ci qui doit notamment préciser la stratégie de Transnet vis-à-vis de la privatisation partielle de la Deutsche Bahn, clarifier les fronts au sein du monde syndical cheminot et enfin clore la crise de confiance ouverte par le départ, en juin 2008, de l’ancien président Norbert Hansen, devenu, à la surprise générale, chef du personnel de la Deutsche Bahn.
’annoncent très serrées en janvier 2009 (v. dépêche n° 080916) ne sont qu’un des chantiers du nouveau président. Celui-ci qui doit notamment préciser la stratégie de Transnet vis-à-vis de la privatisation partielle de la Deutsche Bahn, clarifier les fronts au sein du monde syndical cheminot et enfin clore la crise de confiance ouverte par le départ, en juin 2008, de l’ancien président Norbert Hansen, devenu, à la surprise générale, chef du personnel de la Deutsche Bahn.
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