A Wolfsburg, siège de Volkswagen, personne ne remercie la crise économique. Mais nombreux sont ceux qui pensent qu’elle a remis les pendules à l’heure en faisant triompher la logique économique et industrielle sur la logique financière. Il y a deux semaines, le constructeur Porsche, 15 fois plus petit que le géant Volkswagen, a en effet fait savoir qu’il ne pourrait atteindre son objectif de détenir 75 % du capital de Volkswagen. Pire, le niveau d’endettement de Porsche est tel que c’est désormais le constructeur de voitures de luxe qui appelle Volkswagen à la rescousse et se voit obliger d’abdiquer le pouvoir. Pour les représentants des salariés de Volkswagen, défenseurs d’une forte « culture sociale d’entreprise » contre qui Wendelin Wiedeking, PDG de Porsche, avait ouvertement déclaré la guerre, c’est un coup de théâtre quasi-miraculeux.
jectif de détenir 75 % du capital de Volkswagen. Pire, le niveau d’endettement de Porsche est tel que c’est désormais le constructeur de voitures de luxe qui appelle Volkswagen à la rescousse et se voit obliger d’abdiquer le pouvoir. Pour les représentants des salariés de Volkswagen, défenseurs d’une forte « culture sociale d’entreprise » contre qui Wendelin Wiedeking, PDG de Porsche, avait ouvertement déclaré la guerre, c’est un coup de théâtre quasi-miraculeux.
« Les Volkswagens » reprennent
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