En 2014, déjà, ils avaient dit non, par 712 voix, contre 626 (v. dépêche n°8181). L’écart se resserre. Il n’empêche, la base n’est toujours pas convaincue de l’intérêt d’avoir un représentant de l’UAW pour discuter des négociations salariales pluriannuelles. « Nos employés ont parlé, en conclut le directeur de l’usine », Frank Fischer.
Pour l’UAW, le coup est rude. Le syndicat de l’automobile a fait son trou chez les trois grands constructeurs américains : General Motors, Ford et Chrysler. Au m
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